Une vive altercation a éclaté encore entre les forces de défense et de sécurité (FDS) et les étudiants, dans un climat déjà tendu depuis plus d’une semaine. Ce nouveau face-à-face, d’une rare intensité, a transformé la corniche en véritable champ de bataille, plongeant toute la zone dans un chaos sans précédent.
Selon les informations recueillies, tout est parti d’un mouvement de blocage initié par les étudiants, exaspérés par le non-paiement de leurs bourses. Déterminés à se faire entendre après plusieurs jours de mobilisation, ils ont paralysé la corniche, provoquant un embouteillage monstre qui s’est étalé sur plusieurs kilomètres.
Face à cette situation explosive, les forces de l’ordre sont rapidement intervenues pour tenter de rétablir la circulation. Mais l’opération a dégénéré. Jets de pierres d’un côté, grenades lacrymogènes de l’autre : la confrontation a atteint son paroxysme, transformant l’axe routier en zone de fumée, de cris et de débandade.
Pour disperser les groupes les plus tenaces, les policiers ont sorti les blindés et des véhicules poids lourds, signe que la tension avait atteint un niveau critique. Les affrontements se sont prolongés pendant plusieurs heures, ponctués par des charges, des mouvements de foule et une atmosphère irrespirable due au gaz lacrymogène.
Depuis plus d’une semaine, les étudiants réclament le paiement de leurs bourses, une revendication récurrente qui, faute de réponse satisfaisante, a plongé les campus et les axes stratégiques dans une spirale de tensions. La situation risque de s’enliser si aucune solution concrète n’est trouvée.
Pour l’heure, aucun bilan officiel n’a été communiqué, mais plusieurs témoins évoquent des blessés et des arrestations.
Selon les informations recueillies, tout est parti d’un mouvement de blocage initié par les étudiants, exaspérés par le non-paiement de leurs bourses. Déterminés à se faire entendre après plusieurs jours de mobilisation, ils ont paralysé la corniche, provoquant un embouteillage monstre qui s’est étalé sur plusieurs kilomètres.
Face à cette situation explosive, les forces de l’ordre sont rapidement intervenues pour tenter de rétablir la circulation. Mais l’opération a dégénéré. Jets de pierres d’un côté, grenades lacrymogènes de l’autre : la confrontation a atteint son paroxysme, transformant l’axe routier en zone de fumée, de cris et de débandade.
Pour disperser les groupes les plus tenaces, les policiers ont sorti les blindés et des véhicules poids lourds, signe que la tension avait atteint un niveau critique. Les affrontements se sont prolongés pendant plusieurs heures, ponctués par des charges, des mouvements de foule et une atmosphère irrespirable due au gaz lacrymogène.
Depuis plus d’une semaine, les étudiants réclament le paiement de leurs bourses, une revendication récurrente qui, faute de réponse satisfaisante, a plongé les campus et les axes stratégiques dans une spirale de tensions. La situation risque de s’enliser si aucune solution concrète n’est trouvée.
Pour l’heure, aucun bilan officiel n’a été communiqué, mais plusieurs témoins évoquent des blessés et des arrestations.
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