Le Premier vice-président de l’Assemblée nationale du Sénégal Abdou Mbow, a pris part avec une délégation composée de Pape Birame Touré, Président de la commission des affaires étrangères, Babacar Ba Conseiller diplomatique et Aliou Dagnoko du protocole, à la réunion de concertation des Présidents de Parlements nationaux sur le fonctionnement du Parlement Panafricain, ce jeudi 8 juillet 2021 à Rabat. Il a ainsi prôné, face aux difficultés que
connait « l'Institution parlementaire », de « sonner l'alerte, et resserrer les rangs pour préserver les acquis précieux d'un système multilatéral, de plus en plus perturbé ».
« C'est vrai que de nos jours, toutes les instances internationales font face à des enjeux et défis de tous ordres, qui affectent dangereusement leur fonctionnement et risquent de remettre gravement en cause leur existence. Face à de tels dangers, il nous faut sonner l'alerte, et resserrer les rangs pour préserver les acquis précieux d'un système multilatéral, de plus en plus perturbé », a indiqué Abdou Mbow.
La création du Parlement panafricain, consacrée par l'Article 17 de l'Acte constitutif de l'Union africaine, est une réponse pertinente des Leaders de notre continent pour "assurer la pleine participation des Peuples africains au Développement et l'intégration économique du continent", a-t-il aussi rappelé. « Nous devons rester fidèles à cet engagement solennel de nos Pères fondateurs et, en notre qualité de parlementaires, il nous faut redoubler d'efforts pour porter encore plus haut la voix des peuples que nous représentons. À cet effet, le Parlement panafricain devrait demeurer pour nous tous, un cadre privilégié d'échanges et de dialogue permanent, dans le respect des principes, et règles fondamentaux, qui régissent cette Institution », a invité Abdou Mbow.
Comme toutes les Instances parlementaires, a-t-il ajouté, il ne saurait être exempt de contradictions ou de divergences de toutes sortes dans l'accomplissement de sa mission de veille, d'alerte et de contrôle des actions publiques à travers le continent. « Mais nous devons toujours avoir à l'esprit notre responsabilité primordiale de respect des règles et procédures que nous nous sommes fixés dans nos Statuts et notre règlement intérieur », a dit Mbow. Enfin invitera-t-il pour finir, il est impérieux de tirer les leçons des dysfonctionnements qui ont été à la base de ces perturbations, afin de proposer des améliorations ou des amendements, propres à assurer une meilleure compréhension et une bonne application de nos règles et procédures...
connait « l'Institution parlementaire », de « sonner l'alerte, et resserrer les rangs pour préserver les acquis précieux d'un système multilatéral, de plus en plus perturbé ».
« C'est vrai que de nos jours, toutes les instances internationales font face à des enjeux et défis de tous ordres, qui affectent dangereusement leur fonctionnement et risquent de remettre gravement en cause leur existence. Face à de tels dangers, il nous faut sonner l'alerte, et resserrer les rangs pour préserver les acquis précieux d'un système multilatéral, de plus en plus perturbé », a indiqué Abdou Mbow.
La création du Parlement panafricain, consacrée par l'Article 17 de l'Acte constitutif de l'Union africaine, est une réponse pertinente des Leaders de notre continent pour "assurer la pleine participation des Peuples africains au Développement et l'intégration économique du continent", a-t-il aussi rappelé. « Nous devons rester fidèles à cet engagement solennel de nos Pères fondateurs et, en notre qualité de parlementaires, il nous faut redoubler d'efforts pour porter encore plus haut la voix des peuples que nous représentons. À cet effet, le Parlement panafricain devrait demeurer pour nous tous, un cadre privilégié d'échanges et de dialogue permanent, dans le respect des principes, et règles fondamentaux, qui régissent cette Institution », a invité Abdou Mbow.
Comme toutes les Instances parlementaires, a-t-il ajouté, il ne saurait être exempt de contradictions ou de divergences de toutes sortes dans l'accomplissement de sa mission de veille, d'alerte et de contrôle des actions publiques à travers le continent. « Mais nous devons toujours avoir à l'esprit notre responsabilité primordiale de respect des règles et procédures que nous nous sommes fixés dans nos Statuts et notre règlement intérieur », a dit Mbow. Enfin invitera-t-il pour finir, il est impérieux de tirer les leçons des dysfonctionnements qui ont été à la base de ces perturbations, afin de proposer des améliorations ou des amendements, propres à assurer une meilleure compréhension et une bonne application de nos règles et procédures...
Autres articles
-
Entretien avec Pr Yérim Mbagnick Diop: « les besoins de la relance de l’Industrie pharmaceutique locale sont estimés à 326 milliards FCFA»
-
Arrestation de Amath S. Camara: Les députés du groupe parlementaire Bby condamnent et indexent les priorités pour le nouveau régime
-
Exploitation gazière : désarroi et inquiétudes dans la langue de barbarie
-
EXCLUSIF - Nomination contestée au poste de Dir de la réglementation pharmaceutique / Dr Diouf minimise : « Mes détracteurs sont, peut-être, ceux qui ont peur et qui tiennent des trafics frauduleux… »
-
Justice : Le lutteur Lac De Guiers 2 a été libéré ce vendredi !