Même « libre » et sous contrôle judiciaire, la présidente du mouvement « Sénégal Nouveau » fait toujours parler de son cas. Rose Wardini est un cas spécifique qui n’a pas été pris en compte par la loi. Il va réellement falloir statuer définitivement sur cette affaire de « double nationalité » car, comme l’indique le code électoral en son article 121, « tout candidat aspirant à diriger le pays doit être exclusivement de nationalité sénégalaise ». Dans un entretien avec un professeur de droit public, deux hypothèses se projettent. Dans un des cas, on peut dire que « nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude »: Le conseil constitutionnel doit accepter la candidature de Rose Wardini parce que c’est une candidature qui lui a échappé.
Selon notre interlocuteur, la candidate Rose Wardina a dribblé la vigilance des sénégalais sachant que lorsqu’elle sera en campagne électorale, les sénégalais peuvent être exigent en disant qu’ils ne vont pas accepter que quelqu’un qui a la double nationalité prétende à les diriger. Deuxièmement, les candidats peuvent saisir le Conseil constitutionnel pour apporter des preuves car, il peut revenir sur la liste car, étant le juge des élections. Le processus n’est pas encore terminé. En effet, dans ce processus, si le Conseil constitutionnel se rend compte qu’il a validé la candidature de quelqu’un qui a fait un parjure, il peut juger de l’opportunité de revenir sur la liste déjà arrêtée. Exemple : S’il y’a un candidat décédé, le Conseil reviendra sur la liste, un qui décide de se retirer ou encore qui a fraudé, le Conseil peut revenir sur la liste retenue. « La liste n’est définitive que le jour du scrutin ». Le Conseil constitutionnel après avoir fait des fouilles approfondies, peut se dire qu’il y a des candidats qui ont fraudé et ensuite donner une décision.
Cependant, ce cas « Wardini » ne peut aucunement affecter les autres candidats. Autrement dit, c’est le seul cas qui doit être traité et que le Conseil constitutionnel dispose de la preuve de la culpabilité. Il faut qu’il donne des arguments solides.
Le professeur de droit public avec qui nous nous sommes entretenu, précise que le Conseil constitutionnel doit être audacieux et prendre ses responsabilités. L’exemple du cas d’annulation de la loi constitutionnel relative au report de la présidentielle est à interroger. C’est d’ailleurs la première fois que le Conseil constitutionnel annule une loi constitutionnelle car, elle touche des clauses d’éternité
Le Conseil constitutionnel ne doit pas faire acte de déni de justice : « Quand une juridiction refuse de juger sur une matière dont elle est compétente. Et pour le cas de Wardini, cela peut être la première fois que le Conseil retire une candidate après avoir validé une liste définitive, pour parjure » complète-t-il.
Selon notre interlocuteur, la candidate Rose Wardina a dribblé la vigilance des sénégalais sachant que lorsqu’elle sera en campagne électorale, les sénégalais peuvent être exigent en disant qu’ils ne vont pas accepter que quelqu’un qui a la double nationalité prétende à les diriger. Deuxièmement, les candidats peuvent saisir le Conseil constitutionnel pour apporter des preuves car, il peut revenir sur la liste car, étant le juge des élections. Le processus n’est pas encore terminé. En effet, dans ce processus, si le Conseil constitutionnel se rend compte qu’il a validé la candidature de quelqu’un qui a fait un parjure, il peut juger de l’opportunité de revenir sur la liste déjà arrêtée. Exemple : S’il y’a un candidat décédé, le Conseil reviendra sur la liste, un qui décide de se retirer ou encore qui a fraudé, le Conseil peut revenir sur la liste retenue. « La liste n’est définitive que le jour du scrutin ». Le Conseil constitutionnel après avoir fait des fouilles approfondies, peut se dire qu’il y a des candidats qui ont fraudé et ensuite donner une décision.
Cependant, ce cas « Wardini » ne peut aucunement affecter les autres candidats. Autrement dit, c’est le seul cas qui doit être traité et que le Conseil constitutionnel dispose de la preuve de la culpabilité. Il faut qu’il donne des arguments solides.
Le professeur de droit public avec qui nous nous sommes entretenu, précise que le Conseil constitutionnel doit être audacieux et prendre ses responsabilités. L’exemple du cas d’annulation de la loi constitutionnel relative au report de la présidentielle est à interroger. C’est d’ailleurs la première fois que le Conseil constitutionnel annule une loi constitutionnelle car, elle touche des clauses d’éternité
Le Conseil constitutionnel ne doit pas faire acte de déni de justice : « Quand une juridiction refuse de juger sur une matière dont elle est compétente. Et pour le cas de Wardini, cela peut être la première fois que le Conseil retire une candidate après avoir validé une liste définitive, pour parjure » complète-t-il.
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