C’est en perspective du prochain Grand Magal de Touba qu’il a fait face à la presse . Une déclaration devenue traditionnelle et qui lui permet de dégager les grands axes de la célébration de l’événement. Cheikh Bassirou Mbacké Abdou Khadre , tout de même, a préféré revenir , dès l’entame de son discours, sur l’importance du magal non sans rappeler que c’est une épreuve qui implique chez le disciple une posture de dévotion.
« Ce magal symbolise la libération spirituelle du peuple Sénégalais. N’eût-été ce voyage de Serigne Touba, nous tous serions spirituellement colonisés par le blanc qui ferait de nous des acculturés. C’est en cela que ce départ pour l’exil du Cheikh est important à célébrer. Il suffit aussi de parcourir ses écrits pour se rendre compte que l’homme a souffert des affres de la vie et a été confronté à la méchanceté de l’ennemi qui n’a jamais baissé d’un ton quand il s’est agi pour lui de chercher à lui faire du mal. On a forcément les larmes aux yeux si on parcourt ces récits. Serigne Touba, par conséquent, n’oubliera jamais ce jour où il devait partir pour l’exil et c’est lui qui a demandé que ce jour soit commémoré et qu’on rende grâce à Dieu pour lui avoir fait subir toutes ces souffrances. Des souffrances qui n’ont jamais cessé durant tout le voyage mais qui ont été transformées en grâce dès qu’elles ont pris fin ». Cheikh Bass bouclera cette partie du discours en parlant de Serigne Mountakha Mbacké . ( suite).
« Ce magal symbolise la libération spirituelle du peuple Sénégalais. N’eût-été ce voyage de Serigne Touba, nous tous serions spirituellement colonisés par le blanc qui ferait de nous des acculturés. C’est en cela que ce départ pour l’exil du Cheikh est important à célébrer. Il suffit aussi de parcourir ses écrits pour se rendre compte que l’homme a souffert des affres de la vie et a été confronté à la méchanceté de l’ennemi qui n’a jamais baissé d’un ton quand il s’est agi pour lui de chercher à lui faire du mal. On a forcément les larmes aux yeux si on parcourt ces récits. Serigne Touba, par conséquent, n’oubliera jamais ce jour où il devait partir pour l’exil et c’est lui qui a demandé que ce jour soit commémoré et qu’on rende grâce à Dieu pour lui avoir fait subir toutes ces souffrances. Des souffrances qui n’ont jamais cessé durant tout le voyage mais qui ont été transformées en grâce dès qu’elles ont pris fin ». Cheikh Bass bouclera cette partie du discours en parlant de Serigne Mountakha Mbacké . ( suite).
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