Le président de transition au Burkina Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba, a nommé jeudi Premier ministre Albert Ouédraogo, 53 ans.
"Le président de transition (....) décrète : Monsieur Albert Ouédraogo est nommé Premier ministre", indique le décret signé du lieutenant-colonel Damiba dont copie a été transmise à l'AFP.
M. Ouédraogo, un universitaire, est à la tête d'un cabinet de conseils et d'audit des entreprises depuis 2007.
Economiste de formation, "le nouveau Premier ministre dispose d’une solide expérience dans le domaine du management des administrations publiques, des projets de développement ainsi que des entreprises privées", selon la présidence.
"Il a conduit plusieurs missions d’études sur le développement du secteur privé (...) et des audits organisationnels et d’élaboration de manuels de procédures", précise la présidence.
Mardi, le lieutenant-colonel Damiba a signé une Charte de la transition prévoyant une période de trois ans avant des élections et la formation d'un gouvernement de 25 membres dirigé par un Premier ministre civil.
Mercredi, le chef de l'Etat a ordonné un audit général du secteur public, une mesure visant à insuffler la bonne gouvernance dans l'administration.
Le lieutenant-colonel Damiba, 41 ans, a pris le pouvoir après deux jours de mutineries dans plusieurs casernes du pays, renversant le président élu Roch Marc Christian Kaboré qui n'a pas réussi à endiguer la violence jihadiste.
Le nouveau président a fait de la lutte contre le jihadisme et la refondation de l'état burkinabè sa "priorité".
"Le président de transition (....) décrète : Monsieur Albert Ouédraogo est nommé Premier ministre", indique le décret signé du lieutenant-colonel Damiba dont copie a été transmise à l'AFP.
M. Ouédraogo, un universitaire, est à la tête d'un cabinet de conseils et d'audit des entreprises depuis 2007.
Economiste de formation, "le nouveau Premier ministre dispose d’une solide expérience dans le domaine du management des administrations publiques, des projets de développement ainsi que des entreprises privées", selon la présidence.
"Il a conduit plusieurs missions d’études sur le développement du secteur privé (...) et des audits organisationnels et d’élaboration de manuels de procédures", précise la présidence.
Mardi, le lieutenant-colonel Damiba a signé une Charte de la transition prévoyant une période de trois ans avant des élections et la formation d'un gouvernement de 25 membres dirigé par un Premier ministre civil.
Mercredi, le chef de l'Etat a ordonné un audit général du secteur public, une mesure visant à insuffler la bonne gouvernance dans l'administration.
Le lieutenant-colonel Damiba, 41 ans, a pris le pouvoir après deux jours de mutineries dans plusieurs casernes du pays, renversant le président élu Roch Marc Christian Kaboré qui n'a pas réussi à endiguer la violence jihadiste.
Le nouveau président a fait de la lutte contre le jihadisme et la refondation de l'état burkinabè sa "priorité".
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