Ce fut une très belle cérémonie pour l’inauguration d’un musée souhaitée par les Afro-Américains depuis 1950 et dont la construction fut finalement autorisée par George Bush en 2003.
L’ancien président républicain figurait au nombre des invités aux côtés de nombreuses personnalités représentant le monde politique - Bill Clinton était là, mais pas Hillary, ni Trump d’ailleurs - mais aussi le monde artistique : Angélique Kidjo, d’origine béninoise avait ouvert les festivités. Stevie Wonder et Patti LaBelle ont également chanté.
Mais bien sûr le discours le plus attendu était celui de Barack Obama, premier président noir, qui a rappelé la large contribution des Afro-Américains à l’histoire des Etats-Unis.
« Nous ne sommes pas un fardeau pour l’Amérique, ou une tache sur son blason, ou un objet de pitié ou de charité. Nous sommes l’Amérique », a déclaré le président américain.
Des milliers de personnes avaient envahi l’esplanade qui fait face au musée pour suivre la cérémonie sur des écrans géants. C’était une foule mixte. Pour les Afro-Américains, c’était un moment de fierté. C’était aussi un beau moment d’unité entre tous les Américains, qui tranchait avec ce qui se passe à Charlotte, une belle image de ce que l’Amérique peut être.
L’ancien président républicain figurait au nombre des invités aux côtés de nombreuses personnalités représentant le monde politique - Bill Clinton était là, mais pas Hillary, ni Trump d’ailleurs - mais aussi le monde artistique : Angélique Kidjo, d’origine béninoise avait ouvert les festivités. Stevie Wonder et Patti LaBelle ont également chanté.
Mais bien sûr le discours le plus attendu était celui de Barack Obama, premier président noir, qui a rappelé la large contribution des Afro-Américains à l’histoire des Etats-Unis.
« Nous ne sommes pas un fardeau pour l’Amérique, ou une tache sur son blason, ou un objet de pitié ou de charité. Nous sommes l’Amérique », a déclaré le président américain.
Des milliers de personnes avaient envahi l’esplanade qui fait face au musée pour suivre la cérémonie sur des écrans géants. C’était une foule mixte. Pour les Afro-Américains, c’était un moment de fierté. C’était aussi un beau moment d’unité entre tous les Américains, qui tranchait avec ce qui se passe à Charlotte, une belle image de ce que l’Amérique peut être.
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