DAKARACTU.COM Au moment où Me Ousmane Ngom était cueilli par la Brigade d'intervention polyvalente (BIP), Amnesty Sénégal égrenait la liste des citoyens fauchés par l'appareil répressif d'Abdoulaye Wade. Aujourd'hui comme hier, l'organisation de protection des droits de l'homme juge incontournables les poursuites judiciaires contre les donneurs d'ordres et les exécutants. Au chapitre des recommandations formulées pour mettre un frein à l'impunité, Amnesty Sénégal préconise en lieu et place des audits que les vingt plaintes déposées par les parents des victimes soient activées. Certes, reconnaît Seydi Gassama, des ordres de poursuite ont été délivrés pour certains cas, mais pour beaucoup d'autres, tout reste à faire. C'est pourquoi Amnesty International appelle les ministres de l'Intérieur et des Forces armées à délivrer ces ordres de poursuite «très rapidement».
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