Ils sont plus d’une soixantaine de passagers à frôler la mort dans la nuit du mercredi au jeudi 90 mai 2024 qui, au départ, n'avaient pas décidé de prendre un vol de la compagnie Transair. Mais plutôt Air Sénégal. Cette dernière a pu finalement, après 3 jours de patience des clients, leur affréter le Boeing 737-300 de Transair . Aux environs de 1h du matin, le vol CH 301 de la compagnie Air Sénégal à destination de Bamako a fait, selon les informations des autorités aéroportuaires, « une sortie de piste lors de sa phase de décollage ».
Un accident aux multiples interrogations du côté notamment des passagers qui ont l’habitude de s'offrir les services de la compagnie Air Sénégal. Une rencontre avec certains d’entre eux n’aura pas été inutile pour se faire une idée de l’état psychologique où se trouvent-ils. « Nous avons cru que c’était fini » ! Ont-ils unanimement déclaré à notre micro lors d’une interview pendant laquelle, ils se sont confiés en donnant leurs impressions sur la qualité de service d’Air Sénégal ainsi que de la prise en charge des rescapés de l'accident. La plupart d’entre eux sont de nationalité malienne.
En effet, ils devaient se rendre à Bamako mais « la prise en charge efficiente n’a pas été de mise », nous expliquent-ils dans cette séance d’échange qui s’est déroulée dans un hôtel de la place où ils ont été hébergés hier et qu’ils vont d’ailleurs, être contraints quitter ce vendredi malgré leur état de choc.
Un accident aux multiples interrogations du côté notamment des passagers qui ont l’habitude de s'offrir les services de la compagnie Air Sénégal. Une rencontre avec certains d’entre eux n’aura pas été inutile pour se faire une idée de l’état psychologique où se trouvent-ils. « Nous avons cru que c’était fini » ! Ont-ils unanimement déclaré à notre micro lors d’une interview pendant laquelle, ils se sont confiés en donnant leurs impressions sur la qualité de service d’Air Sénégal ainsi que de la prise en charge des rescapés de l'accident. La plupart d’entre eux sont de nationalité malienne.
En effet, ils devaient se rendre à Bamako mais « la prise en charge efficiente n’a pas été de mise », nous expliquent-ils dans cette séance d’échange qui s’est déroulée dans un hôtel de la place où ils ont été hébergés hier et qu’ils vont d’ailleurs, être contraints quitter ce vendredi malgré leur état de choc.
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