Le ministre en charge de l’environnement a réagi au tollé suscité par le transfert des gazelles Oryx de la réserve de Katané dans le Ranérou vers sa ferme privée. Abdou Karim Sall s’est défendu en indiquant que c’est une initiative on ne peut plus normale de signer des protocoles avec des privés pour préserver encore plus ces espèces-là. « Ça aurait pu être un délit d’initié si on me les avait offertes. Ou si je les avais achetées. Ce n’est pas le cas, ces oryx restent la propriété de l’Etat avec un protocole en bonne et due forme. Je profite de l’occasion pour dire que les sénégalais sont capables de nous aider à protéger ou à préserver ces espèces-là, ils pourront signer des protocoles s’ils sont capables de les recevoir dans d’excellentes conditions », a d’abord réagi le ministre.
Il a par la suite indiqué n’avoir commis aucune irrégularité d’autant plus qu’un problème de consanguinité risque d’exterminer les bêtes mises en cause.
« Tous ceux qui veulent ouvrir des enquêtes peuvent le faire. Je n’ai rien à me reprocher, et cette situation ne m’ébranle pas. Je n’ai pas fait quelque chose d’irrégulier, et je suis dans la protection des espèces comme le veut la mission qui m’a été confiée et c’est dans cette préservation de ces espèces là que ce transfert a été fait. En plus quand on met les espèces dans le même endroit ce qui risque de se passer c’est un problème de consanguinité et l’espèce risque de s’éteindre à long terme. Et c’est la raison pour laquelle on multiplie les points vers lesquelles ont envoie les espèces pour qu’elles puissent se reproduire. Ma volonté était de participer à cette démarche », s’est expliqué AKS au micro de la RFM.
Il a par la suite indiqué n’avoir commis aucune irrégularité d’autant plus qu’un problème de consanguinité risque d’exterminer les bêtes mises en cause.
« Tous ceux qui veulent ouvrir des enquêtes peuvent le faire. Je n’ai rien à me reprocher, et cette situation ne m’ébranle pas. Je n’ai pas fait quelque chose d’irrégulier, et je suis dans la protection des espèces comme le veut la mission qui m’a été confiée et c’est dans cette préservation de ces espèces là que ce transfert a été fait. En plus quand on met les espèces dans le même endroit ce qui risque de se passer c’est un problème de consanguinité et l’espèce risque de s’éteindre à long terme. Et c’est la raison pour laquelle on multiplie les points vers lesquelles ont envoie les espèces pour qu’elles puissent se reproduire. Ma volonté était de participer à cette démarche », s’est expliqué AKS au micro de la RFM.
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