Suite aux propos du Directeur de la Pharmacie et du Médicament, Mr Yérim Mbagnick Diop, dans un entretien qu'il a accordé à Dakaractu, la titulaire de la Grande Pharmacie Dakaroise a démenti fermement ses allégations. Selon Aïcha Goundiam Mbodj, il n'y a pas eu de rupture de contrat en 2015 entre l'Ipres et la Grande Pharmacie Dakaroise. « L'Ipres m'a demandé de libérer le local pour cause de travaux. Malgré le caractère illégal de cette demande, car le bail courait encore pour un an, j'ai accepté de coopérer », a-t-elle déclaré.
Exploitant cette officine depuis 43 ans et 39 ans comme titulaire, Madame Mbodj dit ne pas comprendre l'attitude des autorités qui préfèrent une autre personne qu'à elle. « Je suis sénégalaise de par mon père et de par mon époux. On ne peut pas me discriminer par rapport à quelques autres sénégalais », s’est-elle offusquée.
Par ailleurs, elle a noté avoir reçu l'autorisation d'exploiter la pharmacie Dakaroise sur ce site par arrêté ministériel du 4/11/81 enregistré le 9/01/82.
À cet effet, Mme Mbodj s'interroge sur le fait qu'on puisse autoriser un transfert sur un site faisant déjà l'objet d'un arrêté au profit d'une autre personne.
Madame Mdodj s'interroge aussi sur la concomitance entre le revirement de livres à son sujet et la bienveillance du directeur de la Pharmacie et du Médicament à l'égard de l'Ipres.
Concernant la déclaration de Yérim Mbagnick Diop affirmant que la propriétaire de la pharmacie Dakaroise n’avait pas fourni le document de l'Ipres réservant un local, Madame Mbodj a fait savoir que cette déclaration est fausse. Ainsi, elle compte mener le combat jusqu'au bout pour faire valoir ses droits...
Exploitant cette officine depuis 43 ans et 39 ans comme titulaire, Madame Mbodj dit ne pas comprendre l'attitude des autorités qui préfèrent une autre personne qu'à elle. « Je suis sénégalaise de par mon père et de par mon époux. On ne peut pas me discriminer par rapport à quelques autres sénégalais », s’est-elle offusquée.
Par ailleurs, elle a noté avoir reçu l'autorisation d'exploiter la pharmacie Dakaroise sur ce site par arrêté ministériel du 4/11/81 enregistré le 9/01/82.
À cet effet, Mme Mbodj s'interroge sur le fait qu'on puisse autoriser un transfert sur un site faisant déjà l'objet d'un arrêté au profit d'une autre personne.
Madame Mdodj s'interroge aussi sur la concomitance entre le revirement de livres à son sujet et la bienveillance du directeur de la Pharmacie et du Médicament à l'égard de l'Ipres.
Concernant la déclaration de Yérim Mbagnick Diop affirmant que la propriétaire de la pharmacie Dakaroise n’avait pas fourni le document de l'Ipres réservant un local, Madame Mbodj a fait savoir que cette déclaration est fausse. Ainsi, elle compte mener le combat jusqu'au bout pour faire valoir ses droits...
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