Quelques semaines après la marche des populations de la commune de Ndiébéne Gandiole pour demander de l’eau potable, le directeur de la SONES Charles FALL s’y est rendu ce Samedi pour calmer les esprits. Il leur a présenté le programme de renforcement de l’alimentation en eau potable de Ndiock Sall et environs. Devant un parterre d’habitants et le maire Oumar Sow, le directeur de la SONES et les techniciens sont revenus largement sur l’importance d’un tel programme « initié par le chef de l’Etat » pour faciliter l’accès à l’eau dans cette zone. Selon le DG de la SONES, ce programme verra la réalisation d’un château d’eau de 800 m3 à 25 m, le renouvellement de la conduite de distribution sur un linéaire d’environ 50 km, la fourniture et la pose de canalisation en PVC à 110 sur 136 km pour les densifications de réseaux dans les différents sites ciblés, le changement des trois pompes de forage en vue d’un refoulement direct sur le château d’eau , ce qui devrait permettre d’assurer une distribution gravitaire à partir dudit ouvrage de stockage.
Le financement est assuré par la banque mondiale dans le cadre du programme complémentaire du PEAMU.
Le coût global du programme est estimé à 2 milliards 500 millions de nos francs dont 2 milliards 300 millions pour le volet des travaux et 147 millions pour le volet « contrôle et supervision ». Avec une telle réalisation, des zones comme Mpal, Rao, Gandon et Gandiole vont oublier leur déficit en eau potable estimé depuis 2015 en 4082.67 m3 par jour alors que les ressources disponibles qui n’ont pas encore évolué depuis lors, sont fixées à 3344 m3 par jour.
Ce gap est évolutif et atteindrait exactement 3228.23m3 par jour à l’horizon 2030 si rien n’est fait. Et ce déficit évolue à cause de la croissance démographique d’une part et d’autre part de la vétusté actuel de l’AEP NDIOCK SALL, notamment la conduite principale de distribution en DN250 / 160 mm qui desservait les communes de Gandiol et Gandon et pour laquelle le pompage à une certaine pression entraine des casses. Cela fait qu’on n’atteint pas le rendement escompté sur le fonctionnement dudit système.
Le financement est assuré par la banque mondiale dans le cadre du programme complémentaire du PEAMU.
Le coût global du programme est estimé à 2 milliards 500 millions de nos francs dont 2 milliards 300 millions pour le volet des travaux et 147 millions pour le volet « contrôle et supervision ». Avec une telle réalisation, des zones comme Mpal, Rao, Gandon et Gandiole vont oublier leur déficit en eau potable estimé depuis 2015 en 4082.67 m3 par jour alors que les ressources disponibles qui n’ont pas encore évolué depuis lors, sont fixées à 3344 m3 par jour.
Ce gap est évolutif et atteindrait exactement 3228.23m3 par jour à l’horizon 2030 si rien n’est fait. Et ce déficit évolue à cause de la croissance démographique d’une part et d’autre part de la vétusté actuel de l’AEP NDIOCK SALL, notamment la conduite principale de distribution en DN250 / 160 mm qui desservait les communes de Gandiol et Gandon et pour laquelle le pompage à une certaine pression entraine des casses. Cela fait qu’on n’atteint pas le rendement escompté sur le fonctionnement dudit système.
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