Ayant soufflé ses six bougies le 1er décembre dernier, le parti au pouvoir se trouverait toujours dans l’informel, càd non-structuré.
Cette structuration avait été repoussée par Macky Sall aux premiers jours de la naissance de son parti, craignant que ses principaux responsables ne se retrouvent enrôlés dans le camp adverse du PDS…
Et après son accession au pouvoir, Macky Sall hésite toujours, faisant face à un dilemme cornélien : soit il laisse l’APR fonctionner dans l’informel, avec toutes les conséquences qui y sont rattachées, soit il enclenche le processus de structuration, avec un risque réel de voir son parti imploser, dans la mesure, informe Le Populaire, où les militants de la première heure, faute de bases solides, risqueraient d’être relégués au second plan…
Cette structuration avait été repoussée par Macky Sall aux premiers jours de la naissance de son parti, craignant que ses principaux responsables ne se retrouvent enrôlés dans le camp adverse du PDS…
Et après son accession au pouvoir, Macky Sall hésite toujours, faisant face à un dilemme cornélien : soit il laisse l’APR fonctionner dans l’informel, avec toutes les conséquences qui y sont rattachées, soit il enclenche le processus de structuration, avec un risque réel de voir son parti imploser, dans la mesure, informe Le Populaire, où les militants de la première heure, faute de bases solides, risqueraient d’être relégués au second plan…
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