La réaction des autorités étatiques ne s'est pas fait attendre suite à la recrudescence des cas importés. D'un commun accord entre le Ministère du Tourisme et des Transports Aériens, le Ministère de la Santé et de l'Action Sociale et le Ministère de l'Intérieur, de nouvelles dispositions ont été prises pour corser le contrôle aux frontières.
Elles vont entrer en vigueur dès le 1er Novembre prochain. Une date minimale qui va permettre aux compagnies aériennes de se conformer à la règle.
Selon Abdoulaye Diouf Sarr, « nous avons fait de bons résultats. Je peux même dire que nous sommes en train d’atterrir. Mais il faut reconnaître qu'il y a des zones de turbulence. Nous nous sommes rendu compte qu'il y a des poches d’inefficiences. Notre taux de positivité est actuellement supérieur ou égal à 2% de manière successive pendant un certain temps. Mais il y ‘a un phénomène qui était traité au début de la pandémie qui revient : c’est le Cas Importé », dira-t-il.
Un cas qui a été traité au début de la pandémie avec la fermeture des frontières, mais qui revient presque au moment où la maladie à Coronavirus est presque maitrisée au Sénégal. Les cas importés s’accentuent de jours en jour au niveau de l’AIBD, malgré les protocoles sanitaires du 22 juin et du 4 juillet 2020.
« Le cas importé est porteur de risques. S’il n’est pas traité, il peut être source de propagation de la pandémie au niveau de la communauté. Cette poche d’inefficience est liée à l’environnement international. Le Sénégal n’est pas un pays isolé. Il joue dans le concert international. Mais on doit tout faire pour tendre le risque vers Zéro », a-t-il annoncé.
Ainsi le MSAS prône pour le zéro tolérance aux tests négatifs de 7 jours minimum qu'il faut effectuer avant d'embarquer pour un aéroport du Sénégal. Cette circulaire est donc un garrot qui va freiner les cas importés selon toujours Abdoulaye Diouf Sarr qui s’exprimait en marge de cette réunion triangulaire qui s'est tenue ce 16 octobre à l’Annexe du MTTA à l’AIBD.
Elles vont entrer en vigueur dès le 1er Novembre prochain. Une date minimale qui va permettre aux compagnies aériennes de se conformer à la règle.
Selon Abdoulaye Diouf Sarr, « nous avons fait de bons résultats. Je peux même dire que nous sommes en train d’atterrir. Mais il faut reconnaître qu'il y a des zones de turbulence. Nous nous sommes rendu compte qu'il y a des poches d’inefficiences. Notre taux de positivité est actuellement supérieur ou égal à 2% de manière successive pendant un certain temps. Mais il y ‘a un phénomène qui était traité au début de la pandémie qui revient : c’est le Cas Importé », dira-t-il.
Un cas qui a été traité au début de la pandémie avec la fermeture des frontières, mais qui revient presque au moment où la maladie à Coronavirus est presque maitrisée au Sénégal. Les cas importés s’accentuent de jours en jour au niveau de l’AIBD, malgré les protocoles sanitaires du 22 juin et du 4 juillet 2020.
« Le cas importé est porteur de risques. S’il n’est pas traité, il peut être source de propagation de la pandémie au niveau de la communauté. Cette poche d’inefficience est liée à l’environnement international. Le Sénégal n’est pas un pays isolé. Il joue dans le concert international. Mais on doit tout faire pour tendre le risque vers Zéro », a-t-il annoncé.
Ainsi le MSAS prône pour le zéro tolérance aux tests négatifs de 7 jours minimum qu'il faut effectuer avant d'embarquer pour un aéroport du Sénégal. Cette circulaire est donc un garrot qui va freiner les cas importés selon toujours Abdoulaye Diouf Sarr qui s’exprimait en marge de cette réunion triangulaire qui s'est tenue ce 16 octobre à l’Annexe du MTTA à l’AIBD.
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