La chargée d’affaires de l’ambassade des Etats-Unis au Sénégal, Mr SANDRA CLARK, s’est prononcée mardi à Louga, pour la prise en compte d’ un engagement populaire devant aboutir à l’amélioration de la mise en œuvre des lois s’attaquant aux violences basées sur le genre.
La diplomate américaine qui participait à une caravane de sensibilisation portant sur les violences domestiques basées sur le genre à l’occasion de la célébration de la journée internationale de lutte contre ce phénomène, a saisi cette opportunité pour plaider pour une mobilisation nationale et internationale en faveur de la lutte contre ce phénomène qui, de plus en plus, prend de l’ampleur. Pour atteindre cet objectif, elle en a appelé à un engagement collectif de toutes les forces vives des différentes communautés nationales et internationales, des gouvernements et des organisations multilatérale et tous ceux qui sont voués à cette cause.
Pour sa part, la présidente du comité de lutte contre les violences faites aux femmes, Mme Penda Seck Diouf a révélé que 60 pour cent de femmes ont avoué avoir été victimes de violences domestiques et que 65 pour cent de cas de viol ont été enregistrés par le comité national.
Mm Diouf a en outre ajouté que 384 cas de viol ont été rapportés par les antennes régionales tandis que 806 cas de femmes victimes d’agression ont été enregistrés par le comité national.
Elle a par ailleurs souhaité que 1 pour cent du budget de l’Etat soit affecté à la lutte contre les violences basées sur le genre.
Correspondance régionale de M’bargou Diop.
La diplomate américaine qui participait à une caravane de sensibilisation portant sur les violences domestiques basées sur le genre à l’occasion de la célébration de la journée internationale de lutte contre ce phénomène, a saisi cette opportunité pour plaider pour une mobilisation nationale et internationale en faveur de la lutte contre ce phénomène qui, de plus en plus, prend de l’ampleur. Pour atteindre cet objectif, elle en a appelé à un engagement collectif de toutes les forces vives des différentes communautés nationales et internationales, des gouvernements et des organisations multilatérale et tous ceux qui sont voués à cette cause.
Pour sa part, la présidente du comité de lutte contre les violences faites aux femmes, Mme Penda Seck Diouf a révélé que 60 pour cent de femmes ont avoué avoir été victimes de violences domestiques et que 65 pour cent de cas de viol ont été enregistrés par le comité national.
Mm Diouf a en outre ajouté que 384 cas de viol ont été rapportés par les antennes régionales tandis que 806 cas de femmes victimes d’agression ont été enregistrés par le comité national.
Elle a par ailleurs souhaité que 1 pour cent du budget de l’Etat soit affecté à la lutte contre les violences basées sur le genre.
Correspondance régionale de M’bargou Diop.
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