Même s’il ne sait ni lire ni écrire, Djiby Diop, commerçant de profession, s’est pourtant débrouillé pour se procurer des papiers nécessaires pour quitter le pays.
Le jeune Djiby Diop, revenu à Dakar pour poursuivre ses activités de commerce, a croisé sur son chemin son soi-disant réalisateur de rêve. Ainsi il lui expliqua son immense projet de voyage « J’ai dit à Aliou que je voulais quitter ce pays et il m’a fait savoir qu’il a aidé beaucoup de jeunes à partir et c’est ainsi que j’ai commencé à m’entretenir avec lui », lance le présumé coupable.
Après avoir recoupé tous les documents requis, Djiby s’est directement rendu à l’ambassade de France pour demander son visa. Mais l’examen de ses dossiers a permis à l’ambassade de noter quelques imperfections à savoir la falsification de l’invitation.
Après avoir été appréhendé par la police, Djiby perd de vue son comploteur. Essayant d’en savoir plus sur ce soi-disant « fantôme » le juge à demandé à Djiby la somme totale qu’il a payée. Comme réponse, ce dernier dit n’avoir versé aucun sou à Aliou. « Mr le juge, je ne devais payer qu’une fois que j’aurais déjà quitté le Sénégal. »
Dans son réquisitoire, le parquet a qualifié les faits de falsification et demande aux juges de le condamner à deux ans d’emprisonnement.
Devant la cour, la défense assure que Djiby est une simple victime et devrait être relâché : « mon client n’est pas instruit, donc il ne sait pas lire alors comment peut-il falsifier des documents », déclare la robe noire. Selon ce dernier, Djiby, comme tout jeune sénégalais, a des rêves de voyager, d’où sa connection avec Aliou Diallo. Pour lui, la procédure révèle qu’il existe bel et bien falsification, mais cela ne vient pas de lui. C’est pourquoi il reconnaît l’usage de faux papiers et non une complicité et demande au juge une application bienveillante de la loi.
Ce que le juge a bien compris avant de mettre en garde Djiby Diop. Ainsi, il l'a condamné à deux mois avec sursis, à titre d’avertissement...
Le jeune Djiby Diop, revenu à Dakar pour poursuivre ses activités de commerce, a croisé sur son chemin son soi-disant réalisateur de rêve. Ainsi il lui expliqua son immense projet de voyage « J’ai dit à Aliou que je voulais quitter ce pays et il m’a fait savoir qu’il a aidé beaucoup de jeunes à partir et c’est ainsi que j’ai commencé à m’entretenir avec lui », lance le présumé coupable.
Après avoir recoupé tous les documents requis, Djiby s’est directement rendu à l’ambassade de France pour demander son visa. Mais l’examen de ses dossiers a permis à l’ambassade de noter quelques imperfections à savoir la falsification de l’invitation.
Après avoir été appréhendé par la police, Djiby perd de vue son comploteur. Essayant d’en savoir plus sur ce soi-disant « fantôme » le juge à demandé à Djiby la somme totale qu’il a payée. Comme réponse, ce dernier dit n’avoir versé aucun sou à Aliou. « Mr le juge, je ne devais payer qu’une fois que j’aurais déjà quitté le Sénégal. »
Dans son réquisitoire, le parquet a qualifié les faits de falsification et demande aux juges de le condamner à deux ans d’emprisonnement.
Devant la cour, la défense assure que Djiby est une simple victime et devrait être relâché : « mon client n’est pas instruit, donc il ne sait pas lire alors comment peut-il falsifier des documents », déclare la robe noire. Selon ce dernier, Djiby, comme tout jeune sénégalais, a des rêves de voyager, d’où sa connection avec Aliou Diallo. Pour lui, la procédure révèle qu’il existe bel et bien falsification, mais cela ne vient pas de lui. C’est pourquoi il reconnaît l’usage de faux papiers et non une complicité et demande au juge une application bienveillante de la loi.
Ce que le juge a bien compris avant de mettre en garde Djiby Diop. Ainsi, il l'a condamné à deux mois avec sursis, à titre d’avertissement...
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