Le maire de Kolda, Mame Boye Diao, appelle au calme pendant cette période de précampagne électorale des législatives. En ce sens, il invite les politiques à éviter de faire basculer le pays dans la violence et de respecter les règles du jeu, en parlant des listes électorales et des législatives.
À en croire le maire de Kolda, "à l'approche de la date fatidique, il y'a toujours une montée de tension pour les élections. Toutes les personnes concernées par le processus refusent de faire confiance aux instruments mis en place, notamment la CENA et l'administration, la DGE..." Dans la foulée, il précise : "et pourtant quand le processus arrive à terme, tout le monde se réjouit pour dire que justice a été dite. Mais pour ça, il fait qu'on fasse confiance à notre justice."
Revenant sur la violence, il avance que "ce n'est pas la peine de créer une tension inutile dans notre pays au point que les gens aient peur. Et quand on a peur on ne peut pas exercer nos activités quotidiennes." À cet effet, il estime que "nous devons comprendre que les populations ne vont jamais accepter d'être les otages des politiques. Et c'est fondamental que nous le disions, car notre pays a réussi deux grandes alternances sans violence. Et c'est pourquoi à chaque fois que le pouvoir sera rendu aux citoyens, ils choisiront selon leur bon vouloir."
Ainsi, poursuit-il, "nous devons aller vers des élections apaisées en soumettant les axes programmatiques aux populations. Et que le meilleur gagne dans le fair-play."
Sans détours, il ajoute : "ce n'est pas normal que les politiques créent les tensions. On n'a qu'à arrêter de nous lancer mutuellement des piques menaçantes.
"Et ceci fait que les investisseurs ont peur car le dialogue politique revêt une certaine violence. Et l'acceptation de la liste de l'opposition est très normale par le Conseil Constitutionnel habilité à trancher. La démocratie demande un arbitrage du citoyen, mais aussi les règles du jeu...
À en croire le maire de Kolda, "à l'approche de la date fatidique, il y'a toujours une montée de tension pour les élections. Toutes les personnes concernées par le processus refusent de faire confiance aux instruments mis en place, notamment la CENA et l'administration, la DGE..." Dans la foulée, il précise : "et pourtant quand le processus arrive à terme, tout le monde se réjouit pour dire que justice a été dite. Mais pour ça, il fait qu'on fasse confiance à notre justice."
Revenant sur la violence, il avance que "ce n'est pas la peine de créer une tension inutile dans notre pays au point que les gens aient peur. Et quand on a peur on ne peut pas exercer nos activités quotidiennes." À cet effet, il estime que "nous devons comprendre que les populations ne vont jamais accepter d'être les otages des politiques. Et c'est fondamental que nous le disions, car notre pays a réussi deux grandes alternances sans violence. Et c'est pourquoi à chaque fois que le pouvoir sera rendu aux citoyens, ils choisiront selon leur bon vouloir."
Ainsi, poursuit-il, "nous devons aller vers des élections apaisées en soumettant les axes programmatiques aux populations. Et que le meilleur gagne dans le fair-play."
Sans détours, il ajoute : "ce n'est pas normal que les politiques créent les tensions. On n'a qu'à arrêter de nous lancer mutuellement des piques menaçantes.
"Et ceci fait que les investisseurs ont peur car le dialogue politique revêt une certaine violence. Et l'acceptation de la liste de l'opposition est très normale par le Conseil Constitutionnel habilité à trancher. La démocratie demande un arbitrage du citoyen, mais aussi les règles du jeu...
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