Le sommet extraordinaire des chefs d'État de la CEDEAO qui devait se tenir à Dakar pour se pencher sur le coup d'État au Burkina Faso ne se tiendra plus comme prévu.
L'annonce est du ministre sénégalais des affaires étrangères Me Aïssata Tall Sall et du commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la CEDEAO, M. Abdel Fatah Musah. "Pour expliquer ce report, il faut d'abord comprendre deux choses. Il y avait un sommet extraordinaire de la CEDEAO à la suite du second coup d'État. Entre temps nous avons tous suivi la déclaration du capitaine Traoré.
Et par la suite, il y a eu une mission de la CEDEAO qui était partie au Burkina Faso dont d'ailleurs le commissaire paix et sécurité de la CEDEAO et nous avons vu des propres propos du médiateur, le président Issoufou que tout s'est bien passé et ils se sont entendus avec le capitaine Traoré et qu'il confirme accepter de mettre en œuvre l'agenda de la CEDEAO. Alors à partir de ce moment on serait réuni pour quoi faire?
Cette rencontre s'inscrivait dans la tradition. C'était pour trouver un agenda de transition au Burkina Faso. Mais le président chef de la transition, le capitaine Traoré a lui même dit au médiateur qu'il se place dans le cadre de l'agenda qui lui a été réparti par la CEDEAO. Donc il n'était pas opportun pour les chef d'État de venir se réunir à Dakar pour une question qui a été déjà réglée", a renseigné Me Aïssata Tall Sall en marge d'un déjeuner avec les journalistes en perspective du Forum international de Dakar sur la paix et sécurité en Afrique...
L'annonce est du ministre sénégalais des affaires étrangères Me Aïssata Tall Sall et du commissaire aux affaires politiques, à la paix et à la sécurité de la CEDEAO, M. Abdel Fatah Musah. "Pour expliquer ce report, il faut d'abord comprendre deux choses. Il y avait un sommet extraordinaire de la CEDEAO à la suite du second coup d'État. Entre temps nous avons tous suivi la déclaration du capitaine Traoré.
Et par la suite, il y a eu une mission de la CEDEAO qui était partie au Burkina Faso dont d'ailleurs le commissaire paix et sécurité de la CEDEAO et nous avons vu des propres propos du médiateur, le président Issoufou que tout s'est bien passé et ils se sont entendus avec le capitaine Traoré et qu'il confirme accepter de mettre en œuvre l'agenda de la CEDEAO. Alors à partir de ce moment on serait réuni pour quoi faire?
Cette rencontre s'inscrivait dans la tradition. C'était pour trouver un agenda de transition au Burkina Faso. Mais le président chef de la transition, le capitaine Traoré a lui même dit au médiateur qu'il se place dans le cadre de l'agenda qui lui a été réparti par la CEDEAO. Donc il n'était pas opportun pour les chef d'État de venir se réunir à Dakar pour une question qui a été déjà réglée", a renseigné Me Aïssata Tall Sall en marge d'un déjeuner avec les journalistes en perspective du Forum international de Dakar sur la paix et sécurité en Afrique...
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