En conseil des ministres hier, le Président de la République a nommé Mohamed Moustapha Diagne, Professeur d’Enseignement secondaire, à la place du Directeur de la Formation et de la Communication Abdoulaye DIATTA. Cette nomination tombe après que cette direction figure desormais dans l’escarcelle du nouveau Secretaire d’Etat à l’alphabétisation et à la promotion des langues nationales Youssou Touré.
Le tonitruant patron du réseau des enseignants de l’Alliance pour la République a dans son giron la direction de l’alphabétisation et des langues nationales, celle de la formation et de la communication, mais aussi la gestion du centre national de ressources éducationnelles (CNRE). Si tous ces attributs lui ont été donnés c’est pour que ce dernier redynamise le sous-secteur de l’alphabétisation qui a été laissé en rade par les autorités du système éducatif sénégalais et la mission de l’actuel secrétaire d’état est de venir booster un département mourant, pourtant secteur de développement réel.
Ainsi des superviseurs et facilitateurs devraient etre recrutés, à charge pour ces derniers de former les 57% des Sénégalais analphabètes essentiellement constitués de femmes qui, une fois mise à niveau, pourraient arriver à mieux gérer leurs activités génératrices de revenus (AGR) avec plus tard, un impact positif sur l’électorat. Un calcul politicien sûr.
Mais la mission du secrétaire d’Etat Youssou Touré, est aussi de relancer un secteur de l’éducation moribond, que le socialiste Serigne Mbaye Thiam peine à gérer. Il se dit même que le quota « institué » par la coalition « Benno Bokk Yakaar » pour les ministres du Gouvernement, ne permet pas à Macky Sall de le déloger de ce poste. Les résultats négatifs du CFEE et du BFEM sont un exemple patent avec un corps de contrôle en grève depuis un an, ce qui fait que les enseignants ne sont pas suivis, d’où les mauvais résultats des examens.
Le tonitruant patron du réseau des enseignants de l’Alliance pour la République a dans son giron la direction de l’alphabétisation et des langues nationales, celle de la formation et de la communication, mais aussi la gestion du centre national de ressources éducationnelles (CNRE). Si tous ces attributs lui ont été donnés c’est pour que ce dernier redynamise le sous-secteur de l’alphabétisation qui a été laissé en rade par les autorités du système éducatif sénégalais et la mission de l’actuel secrétaire d’état est de venir booster un département mourant, pourtant secteur de développement réel.
Ainsi des superviseurs et facilitateurs devraient etre recrutés, à charge pour ces derniers de former les 57% des Sénégalais analphabètes essentiellement constitués de femmes qui, une fois mise à niveau, pourraient arriver à mieux gérer leurs activités génératrices de revenus (AGR) avec plus tard, un impact positif sur l’électorat. Un calcul politicien sûr.
Mais la mission du secrétaire d’Etat Youssou Touré, est aussi de relancer un secteur de l’éducation moribond, que le socialiste Serigne Mbaye Thiam peine à gérer. Il se dit même que le quota « institué » par la coalition « Benno Bokk Yakaar » pour les ministres du Gouvernement, ne permet pas à Macky Sall de le déloger de ce poste. Les résultats négatifs du CFEE et du BFEM sont un exemple patent avec un corps de contrôle en grève depuis un an, ce qui fait que les enseignants ne sont pas suivis, d’où les mauvais résultats des examens.
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