Arrivée le 15 janvier à Dakar, la mission d’observation électorale (MOE) a été déployée par l’Union européenne en accord avec le gouvernement du Sénégal pour observer l’élection présidentielle prévue le 24 février 2019.
En effet, c’est la deuxième mission électorale depuis celle de 2012 pour le suivi des élections présidentielles. Une équipe composée de 9 cadres analystes et experts dans le domaine électoral, politique, données de l’observation et d’une équipe logistique et sécurité.
Selon la cheffe d’observation Elena Valenciano, leur mission consisterait à sillonner les régions du Sénégal et à assurer le suivi de la phase pré-électorale et de la campagne électorale, de la distribution des cartes d’électeur, des préparatifs du déroulement du scrutin, ainsi que la compilation même des résultats. Ces observateurs vont rencontrer dans leurs zones d’observation les acteurs de l’élection présidentielle, les candidats, les partis politiques, la société civile mais aussi les médias.
La mission d’observation électorale a pour mandat donc d’assurer l’effectivité d’une évaluation approfondie, impartiale et à long terme du processus électoral au regard des normes internationales pour des élections démocratiques.
En effet, c’est la deuxième mission électorale depuis celle de 2012 pour le suivi des élections présidentielles. Une équipe composée de 9 cadres analystes et experts dans le domaine électoral, politique, données de l’observation et d’une équipe logistique et sécurité.
Selon la cheffe d’observation Elena Valenciano, leur mission consisterait à sillonner les régions du Sénégal et à assurer le suivi de la phase pré-électorale et de la campagne électorale, de la distribution des cartes d’électeur, des préparatifs du déroulement du scrutin, ainsi que la compilation même des résultats. Ces observateurs vont rencontrer dans leurs zones d’observation les acteurs de l’élection présidentielle, les candidats, les partis politiques, la société civile mais aussi les médias.
La mission d’observation électorale a pour mandat donc d’assurer l’effectivité d’une évaluation approfondie, impartiale et à long terme du processus électoral au regard des normes internationales pour des élections démocratiques.
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