Le recouvrement de l’impôt constitue un véritable goulot d’étranglement pour les collectivités locales nées de l’Acte III de la décentralisation.
Dans la commune de Niakhar, la situation semble être plus que préoccupante. Puisqu’en effet, sur les dix millions d’impôt prévus dans le budget de 2015 au titre du minimum fiscal, seulement deux millions ont été recouvrés, soit un taux de recouvrement très faible de l’ordre de 20%. Aussi, le maire de cette localité située à 18 km au nord de Fatick a-t-il lancé aux populations un appel au civisme fiscal pour faire face à cette situation jugée alarmante. C’était samedi dernier au cours d’un atelier de renforcement de capacités sur les finances locales, à l’intention des acteurs locaux de la décentralisation. Pour Macodou Sène, si les populations rechignent encore à payer ce minimum fiscal qui s’élève à 1000 Fcfa / tête, c’est d’abord parce qu’elles donnent l’impression de ne pas comprendre réellement la nécessité qu’il ya pour un citoyen de payer l’impôt. Ensuite a souligné l’édile de Niakhar, il ya des adversaires politiques qui n’hésitent pas à mener des campagnes d’intoxication en allant dire aux populations de ne pas payer l’impôt. « Les gens doivent savoir que le payement de l’impôt est obligatoire. Mais il est de notre devoir de les sensibiliser davantage pour les amener à changer de comportement » a conclu le non moins Directeur de l’administration générale et de l’équipement (Dage) du ministère des Affaires étrangères.
Dans le même ordre d’idées, l’inspecteur du trésor, Alioune Diouf qui a animé cet atelier sur le thème « Etat des lieux, typologie et contraintes du financement de la commune de Niakhar» », recommande que l’on mette davantage l’accent sur la sensibilisation afin que les populations puissent s’approprier le payement de l’impôt.
@lequotidien.sn
Dans la commune de Niakhar, la situation semble être plus que préoccupante. Puisqu’en effet, sur les dix millions d’impôt prévus dans le budget de 2015 au titre du minimum fiscal, seulement deux millions ont été recouvrés, soit un taux de recouvrement très faible de l’ordre de 20%. Aussi, le maire de cette localité située à 18 km au nord de Fatick a-t-il lancé aux populations un appel au civisme fiscal pour faire face à cette situation jugée alarmante. C’était samedi dernier au cours d’un atelier de renforcement de capacités sur les finances locales, à l’intention des acteurs locaux de la décentralisation. Pour Macodou Sène, si les populations rechignent encore à payer ce minimum fiscal qui s’élève à 1000 Fcfa / tête, c’est d’abord parce qu’elles donnent l’impression de ne pas comprendre réellement la nécessité qu’il ya pour un citoyen de payer l’impôt. Ensuite a souligné l’édile de Niakhar, il ya des adversaires politiques qui n’hésitent pas à mener des campagnes d’intoxication en allant dire aux populations de ne pas payer l’impôt. « Les gens doivent savoir que le payement de l’impôt est obligatoire. Mais il est de notre devoir de les sensibiliser davantage pour les amener à changer de comportement » a conclu le non moins Directeur de l’administration générale et de l’équipement (Dage) du ministère des Affaires étrangères.
Dans le même ordre d’idées, l’inspecteur du trésor, Alioune Diouf qui a animé cet atelier sur le thème « Etat des lieux, typologie et contraintes du financement de la commune de Niakhar» », recommande que l’on mette davantage l’accent sur la sensibilisation afin que les populations puissent s’approprier le payement de l’impôt.
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