DAKARACTU.COM Dans le cadre de la visite à Dakar du Directeur général de la Banque mondiale (BM) Bertrand Badré a rapporté, en vue du financement de projets sénégalais, de nouveaux engagements financiers portant sur 900 millions de dollars, soit environ 450 milliards de francs CFA.
Tant mieux pour le Plan Sénégal émergent (PSE). Mais les autorités de la BM ont également donné un coup de pied dans la fourmilière, préconisant la réduction des dépenses dans certains secteurs d’activité, dont l’enseignement supérieur. "Le Sénégal a besoin de créer 150 000 emplois par an, et les professeurs d’université sénégalais gagnent cinq fois plus que ceux des Etats- Unis", a soutenu Saran Kebet- Koulibaly, la directrice régionale de la Société financière internationale (SFI), la branche de la BM chargée du secteur privé. Mme Kebet- Koulibaly, qui était aux côtés de M. Badré lors de la conférence de presse, trouve très élevé ce traitement salarial au Sénégal, où "47% de la population sénégalaise vit en dessous du seuil de pauvreté".
Pour Bertrand Badré, "dans un contexte de rareté des ressources, le budget du pays est limité, de même que les capacités des institutions partenaires comme la Banque mondiale, même si on va essayer de faire mieux".
Tant mieux pour le Plan Sénégal émergent (PSE). Mais les autorités de la BM ont également donné un coup de pied dans la fourmilière, préconisant la réduction des dépenses dans certains secteurs d’activité, dont l’enseignement supérieur. "Le Sénégal a besoin de créer 150 000 emplois par an, et les professeurs d’université sénégalais gagnent cinq fois plus que ceux des Etats- Unis", a soutenu Saran Kebet- Koulibaly, la directrice régionale de la Société financière internationale (SFI), la branche de la BM chargée du secteur privé. Mme Kebet- Koulibaly, qui était aux côtés de M. Badré lors de la conférence de presse, trouve très élevé ce traitement salarial au Sénégal, où "47% de la population sénégalaise vit en dessous du seuil de pauvreté".
Pour Bertrand Badré, "dans un contexte de rareté des ressources, le budget du pays est limité, de même que les capacités des institutions partenaires comme la Banque mondiale, même si on va essayer de faire mieux".
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