De l’incident enregistré l’année dernière avec l’affaire Serigne Mountakha Mbacké, empêché de pénétrer dans la mosquée par souci de protocole ( chose qu’il a démentie par la suite), il s’en était suivi une véritable réflexion sur le calendrier-prières du Chef de l’Etat en période de magal à Touba.
La Dahira Moukhadimatoul Khidma, en charge de l’organisation de la grande mosquée, a ainsi mûri une réflexion dans le sens d’établir un calendrier-prières pour le Chef de l’Etat en collaboration avec le gouverneur du Palais. Malheureusement, il n'y a eu aucun accord concluant sur le schéma. En effet, à 48 heures du 18 Safar, la mosquée est généralement extrêmement bondée. Une arrivée tardive de la délégation présidentielle pourrait de ce fait provoquer une bousculade monstre et obliger le véhicule Présidentiel à entrer jusque dans l’enceinte de l’édifice ( chose qui avait eu lieu , l’année dernière et qui avait provoqué une vive polémique allant même jusqu’à faire l’objet de khoutbas dans les mosquées par d’éminents Imams dans la cité).
En conséquence de tout ce qui précède, il a été finalement retenu l’idée de mettre une croix sur le « Al Juma’a Présidentiel», surtout qu’il peut être considéré comme un « moussafir » à qui il est dérogé de s’acquitter de ce rendez-vous. Finalement, pour cette fois, Serigne Sidi Mokhtar Mbacké a du prier sans son hôte, le vendredi.
Au finish, le Président Macky Sall aura honoré deux prières en compagnie du porte-parole du Khalife Général des Mourides, le temps de son séjour. Il s’agit du crépuscule effectué dans la Résidence Khadimou Rassoul en compagnie du Khalife de Serigne Mountakha et de Serigne Cheikh Bass et du « guéwé » qu’il a effectué dans la grande mosquée en compagnie de Cheikh Bass Abdou Khadre Mbacké.
Le Président aura quitté Touba, héliporté sur Dakar, peu avant quatorze heures, c'est-à-dire juste au moment où le « Juma’a » se faisait à la grande mosquée...
La Dahira Moukhadimatoul Khidma, en charge de l’organisation de la grande mosquée, a ainsi mûri une réflexion dans le sens d’établir un calendrier-prières pour le Chef de l’Etat en collaboration avec le gouverneur du Palais. Malheureusement, il n'y a eu aucun accord concluant sur le schéma. En effet, à 48 heures du 18 Safar, la mosquée est généralement extrêmement bondée. Une arrivée tardive de la délégation présidentielle pourrait de ce fait provoquer une bousculade monstre et obliger le véhicule Présidentiel à entrer jusque dans l’enceinte de l’édifice ( chose qui avait eu lieu , l’année dernière et qui avait provoqué une vive polémique allant même jusqu’à faire l’objet de khoutbas dans les mosquées par d’éminents Imams dans la cité).
En conséquence de tout ce qui précède, il a été finalement retenu l’idée de mettre une croix sur le « Al Juma’a Présidentiel», surtout qu’il peut être considéré comme un « moussafir » à qui il est dérogé de s’acquitter de ce rendez-vous. Finalement, pour cette fois, Serigne Sidi Mokhtar Mbacké a du prier sans son hôte, le vendredi.
Au finish, le Président Macky Sall aura honoré deux prières en compagnie du porte-parole du Khalife Général des Mourides, le temps de son séjour. Il s’agit du crépuscule effectué dans la Résidence Khadimou Rassoul en compagnie du Khalife de Serigne Mountakha et de Serigne Cheikh Bass et du « guéwé » qu’il a effectué dans la grande mosquée en compagnie de Cheikh Bass Abdou Khadre Mbacké.
Le Président aura quitté Touba, héliporté sur Dakar, peu avant quatorze heures, c'est-à-dire juste au moment où le « Juma’a » se faisait à la grande mosquée...