Après Karabane, c’est au tour des femmes de l’île Cachouane qui se trouve également dans le département d’Oussouye, dans l’arrondissement de Cabrousse, région de Ziguinchor. Quittant Elinkine, on se retrouve dans l’île après 30 minutes de pirogue.
Les équipes déployées par le ministre Zahra Iyane Thiam ont trouvé des femmes qui s’activent généralement dans le jardinage, l’agriculture, l’élevage et la pêche des huîtres. Mais malheureusement, « c’est un village qui est très enclavé et en manque de soutien pour développer des activités génératrices de revenus », rappellent ces femmes qui se disent souvent oubliées par les institutions financières.
Le chef de village qui prenait part aux discussions entre le ministère et les femmes du village, souligne que l’accompagnement fait défaut parce que ces femmes ont toujours tenté la collaboration avec certaines institutions. Mais malheureusement, cela n’a pas abouti. L’écoulement des produits déjà fabriqués dans cette île trouvent difficilement preneurs, faute de moyens.
Ce qui a été le constat dans ce village, c’est un manque de formation et aussi un manque d’organisation interne qui doit d’ailleurs précéder toute entreprise d’activités quelqu’elle soit.
Les équipes techniques du ministère de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire ont signalé que la structuration et l’organisation interne doivent doivent être les priorités pour ces femmes. Une proposition que ces dernières ont accepté en s’engageant pour la formalisation.
Dans ce cas, conscientes de la volonté du ministre de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire de s’engager dans l’accompagnement, le suivi et le financement conséquent, ces femmes doivent mettre en place des groupements d’intérêt économique pour vulgariser leurs activités et que le développement local devienne une réalité dans l’île...
Les équipes déployées par le ministre Zahra Iyane Thiam ont trouvé des femmes qui s’activent généralement dans le jardinage, l’agriculture, l’élevage et la pêche des huîtres. Mais malheureusement, « c’est un village qui est très enclavé et en manque de soutien pour développer des activités génératrices de revenus », rappellent ces femmes qui se disent souvent oubliées par les institutions financières.
Le chef de village qui prenait part aux discussions entre le ministère et les femmes du village, souligne que l’accompagnement fait défaut parce que ces femmes ont toujours tenté la collaboration avec certaines institutions. Mais malheureusement, cela n’a pas abouti. L’écoulement des produits déjà fabriqués dans cette île trouvent difficilement preneurs, faute de moyens.
Ce qui a été le constat dans ce village, c’est un manque de formation et aussi un manque d’organisation interne qui doit d’ailleurs précéder toute entreprise d’activités quelqu’elle soit.
Les équipes techniques du ministère de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire ont signalé que la structuration et l’organisation interne doivent doivent être les priorités pour ces femmes. Une proposition que ces dernières ont accepté en s’engageant pour la formalisation.
Dans ce cas, conscientes de la volonté du ministre de la microfinance et de l’économie sociale et solidaire de s’engager dans l’accompagnement, le suivi et le financement conséquent, ces femmes doivent mettre en place des groupements d’intérêt économique pour vulgariser leurs activités et que le développement local devienne une réalité dans l’île...
Autres articles
-
Renversement bus à Koungheul : Le bilan s'alourdit à 14 morts, le ministre des transports en route pour s'enquérir de la situation
-
Abidjan / 60ème session ministérielle de la CONFEMEN : “cette jeunesse à éduquer et à former est au cœur du nouveau Projet politique” (M. M. Guirassy, MEN)
-
Rapport 2022 : L’OFNAC recommande d’ériger la corruption en crime international
-
TOUBA- Un Hcct , coordonnateur de Rewmi dans la cité , quitte Idrissa Seck - Mafary Ndiaye évoque la convenance personnelle
-
Culture: Report de la 15e édition de la Biennale de l'Art africain contemporain " DAKAR'ART"