La campagne électorale pour l’élection Présidentielle n’a pas encore débuté que l’opposition est déjà sur le pied de guerre prêt à en découdre avec le pouvoir. L’invalidation des candidatures de certains de ces principaux ténors en est aussi pour quelque chose. Mais face aux menaces qu’elle brandit de sabotage du processus électoral, la Convergence des Cadres Républicains de décider d’avertir le peuple mais aussi l’État « contre cette démarche avec comme unique projet de plonger le pays dans des troubles politiques en vue d’inscrire, contre la volonté du peuple, le Sénégal dans la liste des pays politiquement instables, dans un contexte où les projets structurants et les progrès économiques réalisés par le gouvernement sont unanimement salués en Afrique et dans le monde entier ».
Abdoulaye Diouf SARR, coordinateur des cadres et ses camarades de demander ainsi et solennellement « aux citoyens Sénégalais de n’accorder aucun crédit aux velléités subversives de ces pyromanes et fossoyeurs de la paix et de l’unité nationale ». Cette stratégie de la peur ; indique la CCR « ne doit nullement prospérer dans un pays qui a toujours réussi ses transitions démocratiques dans la quiétude et en toute maturité ». La CCR d’engager aussi le gouvernement du Sénégal à prendre toutes les dispositions idoines pour que force reste à la loi.
Pour finir, la même source de rappeler que toutes les dispositions ont été prises par l’État du Sénégal « pour garantir la tenue d’une élection présidentielle libre, démocratique et pacifique, à l’issue de laquelle, le peuple souverain se choisira librement celui qu’il jugera plus apte à présider les destinées du pays. Toute démarche contraire à celle-là doit rencontrer la fermeté de l’État et ses démembrements », conclut la CCR.
Abdoulaye Diouf SARR, coordinateur des cadres et ses camarades de demander ainsi et solennellement « aux citoyens Sénégalais de n’accorder aucun crédit aux velléités subversives de ces pyromanes et fossoyeurs de la paix et de l’unité nationale ». Cette stratégie de la peur ; indique la CCR « ne doit nullement prospérer dans un pays qui a toujours réussi ses transitions démocratiques dans la quiétude et en toute maturité ». La CCR d’engager aussi le gouvernement du Sénégal à prendre toutes les dispositions idoines pour que force reste à la loi.
Pour finir, la même source de rappeler que toutes les dispositions ont été prises par l’État du Sénégal « pour garantir la tenue d’une élection présidentielle libre, démocratique et pacifique, à l’issue de laquelle, le peuple souverain se choisira librement celui qu’il jugera plus apte à présider les destinées du pays. Toute démarche contraire à celle-là doit rencontrer la fermeté de l’État et ses démembrements », conclut la CCR.
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