« La vérité est une réalité qui ne peut être anéantie par ce qui lui est contraire, mais la vérité anéantit ce qui lui est contraire. Il est préférable de dire : ‘’je n’en fais pas partie plutôt que de dire que je ne suis pas le seul’’. Khalifa Sall, quand il est devenu maire, il a dénoncé la mauvaise gestion et a appelé à la gestion sobre. On ne peut pas comprendre que nous soyons dans cette situation. Il y a une apparence de légalité qui facilite le modus operandi qui fait que chacun joue son rôle pour que la logique puisse se faire.
> Pendant longtemps, on a endormi les autorités en faisant croire l’apparence légale du décaissement des fonds. Les faits sont limpides. Maintenant, si on cherche à se victimiser, c’est autre chose. Les faits devant être jugés devant le tribunal des flagrants délits parce qu’ils reconnaissent avoir utilisé de fausses pièces.
Dès qu’on veut faire entrer la politique, on veut faire croire à une victimisation alors qu’ici, il s’agit de deniers publics. Le Sénégal est un pays pauvre. Les statistiques qui ont été faites en 2011 révélaient que 45% des populations en ville sont pauvres et plus de 60 % en campagne. Donc, le petit sou qui n’est pas bien géré a des conséquences dans le développement du pays. Il s’agit de fonds qui sont qualifiés de deniers publics et qui proviennent du trésor public. Les prévenus n’ont pas contesté le manquant initial mais ils ont cherché à les qualifier abusivement de fonds politiques. Khalifa Sall ne peut soutenir que seule la mairie est compétente pour ester en justice. Il y a une constitution légale de l’Etat du Sénégal.
L’Etat du Sénégal a été accusé de tous les noms. On a cherché à faire accroitre que ce procès n’est pas équitable. Alors que si l’on est juste, l’on doit convenir que toutes les conditions ont été réunies pour permettre à chaque partie de défendre son client. Nous demandons d’ordonner l’exécution totale des sommes réclamées. Nous demandons la confiscation de l’ensemble des biens appartenant aux prévenus. »
> Pendant longtemps, on a endormi les autorités en faisant croire l’apparence légale du décaissement des fonds. Les faits sont limpides. Maintenant, si on cherche à se victimiser, c’est autre chose. Les faits devant être jugés devant le tribunal des flagrants délits parce qu’ils reconnaissent avoir utilisé de fausses pièces.
Dès qu’on veut faire entrer la politique, on veut faire croire à une victimisation alors qu’ici, il s’agit de deniers publics. Le Sénégal est un pays pauvre. Les statistiques qui ont été faites en 2011 révélaient que 45% des populations en ville sont pauvres et plus de 60 % en campagne. Donc, le petit sou qui n’est pas bien géré a des conséquences dans le développement du pays. Il s’agit de fonds qui sont qualifiés de deniers publics et qui proviennent du trésor public. Les prévenus n’ont pas contesté le manquant initial mais ils ont cherché à les qualifier abusivement de fonds politiques. Khalifa Sall ne peut soutenir que seule la mairie est compétente pour ester en justice. Il y a une constitution légale de l’Etat du Sénégal.
L’Etat du Sénégal a été accusé de tous les noms. On a cherché à faire accroitre que ce procès n’est pas équitable. Alors que si l’on est juste, l’on doit convenir que toutes les conditions ont été réunies pour permettre à chaque partie de défendre son client. Nous demandons d’ordonner l’exécution totale des sommes réclamées. Nous demandons la confiscation de l’ensemble des biens appartenant aux prévenus. »
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