Limoges : Abdou Diouf, parrain de la promotion 2019/2020 des docteurs de l’université


Le Président Abdou DIOUF a donné son accord pour être le parrain de la promotion 2019/2020 des docteurs de l’université de Limoges suite à la demande de la délégation limougeaude qu’il a bien voulu recevoir en son domicile situé dans le 8ème Arrondissement de Paris. Selon un communiqué rendu public, la mission a été conduite par le Dr. Ibrahima DIA, enseignant et Président de l’Antenne Française de la Fondation Senghor (A.F.F.S.) et le professeur Didier Tsala, chef du département Sémiotique et Stratégie de la faculté des Lettres et Sciences Humaines.  Le choix de ce parrain a été justifié par la vocation francophone de la ville de Limoges qui colle avec la personnalité du parrain.  D’autre part, le choix est justifié par la grandeur de l’homme, grand intellectuel au parcours linéaire et exceptionnel, grand homme de Culture, ancien secrétaire général de la Francophonie, homme d’Etat qui, à la suite du Poète-Président SENGHOR, a posé et consolidé, les bases d’un Sénégal démocratique, stable et attractif au niveau sous-régional, régional et international informe la même source.
Le président Abdou DIOUF est également l’homme de la consolidation de la laïcité ; cette valeur symbiose des différences ethniques, religieuses, politique, entre autres, est gage de cohésion nationale.
« En tant que Premier ministre puis successeur de Léopold Sédar Senghor à la présidence de la République, le Président Abdou DIOUF a toujours consacré son temps au service de l'approfondissement de la démocratie, l’État de droit, le développement économique dans un contexte de plein ajustement structurel, de la valorisation de la Culture, des Arts, des Sciences et  des Lettres. Il a également contribué à faire entendre la voix du Sénégal dans le monde, grâce à une diplomatie efficace et garante d’un leadership régional. En excellent panafricain, il a beaucoup œuvré pour la stabilité et la consolidation de l’Unité Africaine (U.A.). Aussi, en qualité de Secrétaire général de la Francophonie de 2003 à 2015, a-t-il rendu possible le rêve Senghorien et des Pères fondateurs, consistant à concrétiser l’idéal d’une francophonie universelle, humaniste, respectueuse des identités, globalisatrice des différences dans une optique de synergie porteuse de développement économique », conclut la note.
Lundi 18 Novembre 2019




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