Une nouvelle étude suggère que les femmes anxieuses, qui jonglent entre le travail, les tâches ménagères et l'amour auraient plus de chances d'avoir une fille.
L'étude de l'Université d'Oxford démontre que les femmes stressées, qui essaient en outre d'avoir un bébé, étaient plus susceptibles de donner naissance à une fille. Les chercheurs indiquent que la crise économique pourrait favoriser les naissances de filles.
L'étude a démontré que lorsqu'il y avait des bouleversements majeurs, les naissances de garçons chutaient. Ils prennent comme exemple le 11 septembre. Dans les mois qui ont suivi l'attentat, ils ont constaté que le nombre de garçons nés à New-York avait considérablement chuté.
Taux de cortisol élevé
Mais cette étude est, d'après le Daily Mail, la première à mettre en lumière la relation étroite entre les tensions du quotidien et le niveau d'hormones de stress (cortisol, adrénaline...).
Les chercheurs ont étudié 338 femmes britanniques qui essayaient de tomber enceinte. Celles-ci ont dû tenir un journal au sujet de leur vie quotidienne et devaient également remplir des questionnaires sur leur ressenti. Le taux de cortisol, notamment, a été mesuré dans les mois précédent la grossesse.
Lorsque les bébés sont nés, les scientifiques ont dénombré 58 garçons et 72 filles. Or, ils soulignent que, normalement, en Grande-Bretagne, 105 garçons naissent pour 100 filles.
Une barrière pour les embryons mâles?
Les scientifiques ne savent pas encore en quoi le niveau de cortisol peut réduire les chances d'avoir un garçon. Mais, comme le sexe de l'enfant est déterminé par le père, les scientifiques sous-entendent que le niveau de cortisol empêcherait l'implantation des embryons mâles dans l'utérus.
Le Dr Allan Pacey, expert en fertilité de l'Université de Sheffield, a avoué au quotidien britannique être "intrigué" par les résultats. Il dit que le stress n'est sans doute pas la seule cause. Il pense que la biologie simple ou la nutrition peuvent avoir également leur rôle à jouer.
( 7sur 7 .be )
L'étude de l'Université d'Oxford démontre que les femmes stressées, qui essaient en outre d'avoir un bébé, étaient plus susceptibles de donner naissance à une fille. Les chercheurs indiquent que la crise économique pourrait favoriser les naissances de filles.
L'étude a démontré que lorsqu'il y avait des bouleversements majeurs, les naissances de garçons chutaient. Ils prennent comme exemple le 11 septembre. Dans les mois qui ont suivi l'attentat, ils ont constaté que le nombre de garçons nés à New-York avait considérablement chuté.
Taux de cortisol élevé
Mais cette étude est, d'après le Daily Mail, la première à mettre en lumière la relation étroite entre les tensions du quotidien et le niveau d'hormones de stress (cortisol, adrénaline...).
Les chercheurs ont étudié 338 femmes britanniques qui essayaient de tomber enceinte. Celles-ci ont dû tenir un journal au sujet de leur vie quotidienne et devaient également remplir des questionnaires sur leur ressenti. Le taux de cortisol, notamment, a été mesuré dans les mois précédent la grossesse.
Lorsque les bébés sont nés, les scientifiques ont dénombré 58 garçons et 72 filles. Or, ils soulignent que, normalement, en Grande-Bretagne, 105 garçons naissent pour 100 filles.
Une barrière pour les embryons mâles?
Les scientifiques ne savent pas encore en quoi le niveau de cortisol peut réduire les chances d'avoir un garçon. Mais, comme le sexe de l'enfant est déterminé par le père, les scientifiques sous-entendent que le niveau de cortisol empêcherait l'implantation des embryons mâles dans l'utérus.
Le Dr Allan Pacey, expert en fertilité de l'Université de Sheffield, a avoué au quotidien britannique être "intrigué" par les résultats. Il dit que le stress n'est sans doute pas la seule cause. Il pense que la biologie simple ou la nutrition peuvent avoir également leur rôle à jouer.
( 7sur 7 .be )
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