Les policiers en service dans le sud du pays, précisément à Ziguinchor, sont en rogne. Ils réclament depuis hier, le paiement intégral de leurs primes journalières afin de passer une bonne fête de tabaski dans leurs familles. En effet, tous les éléments du corps militaire et paramilitaire en service en Casamance bénéficient d’une prime journalière de deux mille cinq cent francs (2500 Fcfa) payée au terme de six mois de service. Mais, le paiement de cet argent accuse souvent du retard. Une situation que déplorent certains éléments de la police. Jusqu’à hier, des négociations étaient en cours entre la trésorerie et certains éléments de la police, mais il n’y a pas eu d’accord.
" Normalement on doit recevoir la totalité des primes au terme de six mois de service pour tous les éléments du corps militaire et paramilitaire en service en Casamance. Mais depuis quelques mois, nous courrons derrière cet argent. Chaque fois, c’est le même discours, on nous parle de problème de trésorerie. Et, nous sommes très fatigués à chaque fois d’attendre, ou de faire des va-et-vient pour percevoir notre argent ", peste sous le sceau de l’anonymat un policier.
D’après une autre source, l’essentiel des éléments de la troupe sont des mariés ou des responsables de famille qui ont des besoins à régler dans leurs familles. Et jusqu’à présent, déplore-t-elle, " ils n’ont pas été édifiés sur leur sort, ils ne savent pas s’ils vont ou pas recevoir leur argent à moins d’une semaine de la fête de l’Aid el Kabir. "
L'As
" Normalement on doit recevoir la totalité des primes au terme de six mois de service pour tous les éléments du corps militaire et paramilitaire en service en Casamance. Mais depuis quelques mois, nous courrons derrière cet argent. Chaque fois, c’est le même discours, on nous parle de problème de trésorerie. Et, nous sommes très fatigués à chaque fois d’attendre, ou de faire des va-et-vient pour percevoir notre argent ", peste sous le sceau de l’anonymat un policier.
D’après une autre source, l’essentiel des éléments de la troupe sont des mariés ou des responsables de famille qui ont des besoins à régler dans leurs familles. Et jusqu’à présent, déplore-t-elle, " ils n’ont pas été édifiés sur leur sort, ils ne savent pas s’ils vont ou pas recevoir leur argent à moins d’une semaine de la fête de l’Aid el Kabir. "
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