«Seydi Gassama, pour ne pas le nommer, Directeur Exécutif de la section sénégalaise d’Amnesty International s’est illustré pendant deux ans par son chauvinisme à défendre la cause de Karim Wade au point où on est en droit de se demander, s’il n’y a pas d’autres raisons inavouées à son excès de zèle», a d’emblée soutenu Mansour Niasse, coordinateur adjoint de la Convergence des cadres républicains (Ccr) de Dakar.
Une raison pour affirmer que ce défenseur des droits de l’homme «ne s’intéresse qu’au plus riche des détenus au Sénégal.»
C’est pourquoi, il ajoute que «l’extrémisme de ce soi-disant droit de l’hommiste qui ne s’intéresse qu’à un seul détenu intrigue plus d’un sénégalais.» Elevant le ton, il clame : «On aura entendu les vociférations et diatribes de Seydi Gassama à l’endroit du pouvoir et de la Justice plus que toutes les plaidoiries réunies des nombreux avocats chèrement payés par Karim Wade.»
Des prises de position qui poussent M. Niasse à lancer à l’endroit du directeur de la section sénégalaise d’Amnesty international : «Pourtant, tous les détenus devraient être égaux en droit et en considération, surtout pour une organisation connue pour avoir porté dans le monde la voix des sans voix.»
Selon lui, «au contraire de cette noble mission, vous avez choisi de consacrer tout votre temps et toute votre énergie à un seul et unique détenu, qui se trouve être, comme par hasard, le prisonnier le plus riche de toutes les prisons de notre cher Sénégal et certainement d’Afrique.» Non sans dire que dans sa rage à défendre «votre si rentable client, vous n’épargnez
rien dans votre sillage à savoir la Justice sénégalaise, la Cour de justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), mais surtout le Président Macky Sall.»
Sur ce, il rappelle qu’«Amnesty International est un organisme respectable et respecté dans le monde et votre titre de Directeur exécutif d’Amnesty Sénégal ne vous donne pas le droit d’utiliser son nom et sa noble mission pour faire passer votre camelote de politicien-partisan !»
Ne manquant pas de le mettre en garde, Mansour Niasse de terminer en ces termes : «Vos positions n’ont rien à voir avec le droit, elles sont purement politiciennes. Arrêtez donc de vous cacher sous le noble manteau des droits de l’homme et descendez à visage découvert dans l’arène politique»
Une raison pour affirmer que ce défenseur des droits de l’homme «ne s’intéresse qu’au plus riche des détenus au Sénégal.»
C’est pourquoi, il ajoute que «l’extrémisme de ce soi-disant droit de l’hommiste qui ne s’intéresse qu’à un seul détenu intrigue plus d’un sénégalais.» Elevant le ton, il clame : «On aura entendu les vociférations et diatribes de Seydi Gassama à l’endroit du pouvoir et de la Justice plus que toutes les plaidoiries réunies des nombreux avocats chèrement payés par Karim Wade.»
Des prises de position qui poussent M. Niasse à lancer à l’endroit du directeur de la section sénégalaise d’Amnesty international : «Pourtant, tous les détenus devraient être égaux en droit et en considération, surtout pour une organisation connue pour avoir porté dans le monde la voix des sans voix.»
Selon lui, «au contraire de cette noble mission, vous avez choisi de consacrer tout votre temps et toute votre énergie à un seul et unique détenu, qui se trouve être, comme par hasard, le prisonnier le plus riche de toutes les prisons de notre cher Sénégal et certainement d’Afrique.» Non sans dire que dans sa rage à défendre «votre si rentable client, vous n’épargnez
rien dans votre sillage à savoir la Justice sénégalaise, la Cour de justice de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest (Cedeao), mais surtout le Président Macky Sall.»
Sur ce, il rappelle qu’«Amnesty International est un organisme respectable et respecté dans le monde et votre titre de Directeur exécutif d’Amnesty Sénégal ne vous donne pas le droit d’utiliser son nom et sa noble mission pour faire passer votre camelote de politicien-partisan !»
Ne manquant pas de le mettre en garde, Mansour Niasse de terminer en ces termes : «Vos positions n’ont rien à voir avec le droit, elles sont purement politiciennes. Arrêtez donc de vous cacher sous le noble manteau des droits de l’homme et descendez à visage découvert dans l’arène politique»
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