« Nous allons prendre tout le sud et sud-est du Sénégal, là où on note effectivement des atteintes à nos ressources naturelles, à notre patrimoine commun environnemental. Et vous l'avez dit, il est difficile en l'absence d'une étude scientifique récente de quantifier les dégâts causés. Mais tout le monde constate quand même la dégradation de l'environnement dans le sud et le sud-est du pays », a déclaré le conseiller technique du ministre de l'Environnement et du Développement Durable, Mr Bouna Manel Fall.
Participant à Kaolack à un atelier de renforcement de capacités des agents dudit ministère et autres corps de défense et de sécurité sur les techniques de rédaction de procès-verbaux et techniques d'investigation, le conseiller technique numéro 2 du ministre de l’environnement et du développement durable est revenu en même temps sur les défis liés à la lutte contre ce phénomène. « Cet atelier de renforcement des capacités s'appuie sur la nécessité pour l'État du Sénégal de faire face de manière résolue à l'éco-mafia (la criminalité verte) parce que si vous prenez les statistiques du programme des Nations Unies pour l’environnement avec Interpol, en 2014 le trafic illicite de bois se classait au quatrième rang des activités illicites dans le monde, derrière les activités de contrefaçon, les activités de trafic illicite d’être humain et autres ».
Rappelons que le ministère de l'Environnement et du développement durable a entamé depuis le mois d'octobre 2016, un processus de réforme institutionnelle financé par l'Union Européenne et dont l'UNOPS est le partenaire de mise en œuvre. Cette activité qui se tient sur deux jours à Kaolack va permettre de renforcer les capacités du personnel du service des eaux et forêts et les autres forces de défense et de sécurité impliquées dans la lutte contre l'exploitation clandestine.
Participant à Kaolack à un atelier de renforcement de capacités des agents dudit ministère et autres corps de défense et de sécurité sur les techniques de rédaction de procès-verbaux et techniques d'investigation, le conseiller technique numéro 2 du ministre de l’environnement et du développement durable est revenu en même temps sur les défis liés à la lutte contre ce phénomène. « Cet atelier de renforcement des capacités s'appuie sur la nécessité pour l'État du Sénégal de faire face de manière résolue à l'éco-mafia (la criminalité verte) parce que si vous prenez les statistiques du programme des Nations Unies pour l’environnement avec Interpol, en 2014 le trafic illicite de bois se classait au quatrième rang des activités illicites dans le monde, derrière les activités de contrefaçon, les activités de trafic illicite d’être humain et autres ».
Rappelons que le ministère de l'Environnement et du développement durable a entamé depuis le mois d'octobre 2016, un processus de réforme institutionnelle financé par l'Union Européenne et dont l'UNOPS est le partenaire de mise en œuvre. Cette activité qui se tient sur deux jours à Kaolack va permettre de renforcer les capacités du personnel du service des eaux et forêts et les autres forces de défense et de sécurité impliquées dans la lutte contre l'exploitation clandestine.
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