Alioune Amadou Sow, est membre de l’Union des boutiquiers du Sénégal (UNBS), il estime que le rôle qu’ils jouent au sein de la société est assez important pour inciter à revoir sa politique tendant à la baisse des prix des denrées alimentaires. « L’État doit savoir que 80% des populations se tournent vers nous en cas de besoin », rappelle-t-il.
Au lendemain de la baisse des prix des denrées alimentaires (riz, huile, sucre) les boutiquiers détaillants fustigent leur non implication dans les discussions. « Le carton d’huile nous coûte 24.000 soit 1.200 FCFA le litre, et si l’État nous impose de vendre le litre à 1.100 FCFA, nous vendons à perte », déplore Badara Diouf, le secrétaire général de l’UNBS, section Dalifort.
Toutes choses qui font dire à Alioune Amadou Sow que « s’il ne recule pas, ça va chauffer dans tout le pays... »
Au lendemain de la baisse des prix des denrées alimentaires (riz, huile, sucre) les boutiquiers détaillants fustigent leur non implication dans les discussions. « Le carton d’huile nous coûte 24.000 soit 1.200 FCFA le litre, et si l’État nous impose de vendre le litre à 1.100 FCFA, nous vendons à perte », déplore Badara Diouf, le secrétaire général de l’UNBS, section Dalifort.
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