La Commission de la CEDEAO ne fait pas dans le clair-obscur à propos de l'issue du second tour de la présidentielle, en Guinée Bissau. Elle reconnait le Général Umaro Sissoco Embalo comme le nouveau président. La CEDEAO qui a envoyé une mission d'observation composée d'une soixantaine de membres, l'a fait savoir dans un communiqué parvenu à la rédaction de Dakaractu ce mercredi 22 janvier.
Après avoir pris acte de ce que Umaro Sissoco Embalo a obtenu 53,55% des voix selon les résultats définitifs publiés par la Commission nationale électorale, la Commission de la CEDEAO a adressé ses félicitations au candidat du Mouvement pour l'Alternance démocratique.
Recommandation est ensuite faite aux "différents organes et institutions impliqués dans le processus électoral de finaliser rapidement leurs travaux afin de permettre l'investiture du nouveau président, indispensable à la normalisation politique et institutionnelle de la Guinée Bissau".
Ce communiqué de la CEDEAO risque de faire jaser à Bissau et pour cause. Le Parti africain pour indépendance de la Guinée et du cap-vert dont le candidat a perdu ces élections, selon la CNE, a engagé la bataille judiciaire pour faire annuler les résultats du scrutin. À cet effet, la Cour suprême a été saisie à deux reprises et l'instance suprême a exigé le recomptage des voix.
Après avoir pris acte de ce que Umaro Sissoco Embalo a obtenu 53,55% des voix selon les résultats définitifs publiés par la Commission nationale électorale, la Commission de la CEDEAO a adressé ses félicitations au candidat du Mouvement pour l'Alternance démocratique.
Recommandation est ensuite faite aux "différents organes et institutions impliqués dans le processus électoral de finaliser rapidement leurs travaux afin de permettre l'investiture du nouveau président, indispensable à la normalisation politique et institutionnelle de la Guinée Bissau".
Ce communiqué de la CEDEAO risque de faire jaser à Bissau et pour cause. Le Parti africain pour indépendance de la Guinée et du cap-vert dont le candidat a perdu ces élections, selon la CNE, a engagé la bataille judiciaire pour faire annuler les résultats du scrutin. À cet effet, la Cour suprême a été saisie à deux reprises et l'instance suprême a exigé le recomptage des voix.
Autres articles
-
Renversement bus à Koungheul : Le bilan s'alourdit à 14 morts, le ministre des transports en route pour s'enquérir de la situation
-
Abidjan / 60ème session ministérielle de la CONFEMEN : “cette jeunesse à éduquer et à former est au cœur du nouveau Projet politique” (M. M. Guirassy, MEN)
-
Rapport 2022 : L’OFNAC recommande d’ériger la corruption en crime international
-
TOUBA- Un Hcct , coordonnateur de Rewmi dans la cité , quitte Idrissa Seck - Mafary Ndiaye évoque la convenance personnelle
-
Culture: Report de la 15e édition de la Biennale de l'Art africain contemporain " DAKAR'ART"