Le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan était, hier, à l’Assemblée nationale
pour défendre le projet de loi n 16/2016 portant première loi de finances rectificative pour l’année 2016. A cette occasion, Amadou Ba en a profité pour évoquer la question de la fiscalité à l’hémicycle. Il a lavé à grande eau les députés qui, à son avis, ne doivent aucun franc à l’Etat du Sénégal. D’emblée, il a précisé que ces derniers ne peuvent nullement être concernés par le non-paiement d’impôts. C’est comme qui dirait qu’une catégorie de fonctionnaires ne payait pas l’impôt, ce qui serait impossible puisque l’impôt est prélevé à la source.
Selon le ministre, cette affaire est une situation regrettable découlant d’une mauvaise utilisation de l’information sur les dettes fiscales des agences et structures autonomes assimilées. Il a tenu à présenter aux parlementaires ses vifs regrets. Avant de préciser que les allocations qu’ils perçoivent sont fiscalisées dans les mêmes conditions que le Fonds commun de l’ensemble des agents relevant du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan.
«On n’a pas le droit, en tant que haut fonctionnaire, de sortir des informations secrètes de l’Etat»
«On n’a pas le droit en tant que haut fonctionnaire de sortir des informations secrètes de l’Etat. Ce n’est pas normal. Il y a un code de déontologie qui doit être respecté et accepté par tout le monde. L’Etat va prendre ses dispositions. Car, c’est la volonté de nuire est qui est mauvaise», a pesté le ministre. Poursuivant, il ajoute : «l’Assemblée nationale, c’est l’Etat. Vous n’avez pas d’autres possibilités d’avoir des revenus que celles venant de l’Etat. On ne peut pas vous poursuivre. Donc, c’est un débat qui a offusqué en ce qu’il n’avait pas de sens. C’était absolument rien. Il n’y avait rien.»
pour défendre le projet de loi n 16/2016 portant première loi de finances rectificative pour l’année 2016. A cette occasion, Amadou Ba en a profité pour évoquer la question de la fiscalité à l’hémicycle. Il a lavé à grande eau les députés qui, à son avis, ne doivent aucun franc à l’Etat du Sénégal. D’emblée, il a précisé que ces derniers ne peuvent nullement être concernés par le non-paiement d’impôts. C’est comme qui dirait qu’une catégorie de fonctionnaires ne payait pas l’impôt, ce qui serait impossible puisque l’impôt est prélevé à la source.
Selon le ministre, cette affaire est une situation regrettable découlant d’une mauvaise utilisation de l’information sur les dettes fiscales des agences et structures autonomes assimilées. Il a tenu à présenter aux parlementaires ses vifs regrets. Avant de préciser que les allocations qu’ils perçoivent sont fiscalisées dans les mêmes conditions que le Fonds commun de l’ensemble des agents relevant du ministère de l’Economie, des Finances et du Plan.
«On n’a pas le droit, en tant que haut fonctionnaire, de sortir des informations secrètes de l’Etat»
«On n’a pas le droit en tant que haut fonctionnaire de sortir des informations secrètes de l’Etat. Ce n’est pas normal. Il y a un code de déontologie qui doit être respecté et accepté par tout le monde. L’Etat va prendre ses dispositions. Car, c’est la volonté de nuire est qui est mauvaise», a pesté le ministre. Poursuivant, il ajoute : «l’Assemblée nationale, c’est l’Etat. Vous n’avez pas d’autres possibilités d’avoir des revenus que celles venant de l’Etat. On ne peut pas vous poursuivre. Donc, c’est un débat qui a offusqué en ce qu’il n’avait pas de sens. C’était absolument rien. Il n’y avait rien.»
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