Après avoir participé à l’ouverture de l’acte 2 du dialogue national, le président du mouvement Taxawu Sénégal a expédié une missive au président de la République. Khalifa Sall dans sa lettre invite le chef de l’État à regagner la confiance des acteurs politiques de l’opposition. Une confiance rompue et une frustration, nés depuis que la sélection des protagonistes politiques aux joutes électorales est devenue une règle.
Conséquence, selon le membre fondateur de la coalition radicale de l’opposition, elle a fini de diviser notre pays en camps retranchés dans leurs certitudes. La haine est en train de prendre le pas sur le bon sens, et finit par faire le lit de tous les outrages, de tous les excès. Il nous faut sortir de cet engrenage en passe de mener notre pays dans l’abîme, regrette le socialiste de souche.
Ainsi, dit-il : « j’appelle le président de la République à prendre de la hauteur en mettant en avant la primauté de l’intérêt national. Qu’il sache que, de par sa fonction, il est comptable des colères et des angoisses de son peuple. Il lui faut, en « bon médecin », prendre le pouls de ses concitoyens et prescrire la bonne posologie ».
À l’en croire, c’est une obligation morale vis-à-vis de ce grand peuple qui lui a tout donné. Et la bonne ordonnance consiste à : organiser des élections libres et transparentes, des élections inclusives où seul le peuple aura le dernier mot...
Conséquence, selon le membre fondateur de la coalition radicale de l’opposition, elle a fini de diviser notre pays en camps retranchés dans leurs certitudes. La haine est en train de prendre le pas sur le bon sens, et finit par faire le lit de tous les outrages, de tous les excès. Il nous faut sortir de cet engrenage en passe de mener notre pays dans l’abîme, regrette le socialiste de souche.
Ainsi, dit-il : « j’appelle le président de la République à prendre de la hauteur en mettant en avant la primauté de l’intérêt national. Qu’il sache que, de par sa fonction, il est comptable des colères et des angoisses de son peuple. Il lui faut, en « bon médecin », prendre le pouls de ses concitoyens et prescrire la bonne posologie ».
À l’en croire, c’est une obligation morale vis-à-vis de ce grand peuple qui lui a tout donné. Et la bonne ordonnance consiste à : organiser des élections libres et transparentes, des élections inclusives où seul le peuple aura le dernier mot...
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