A vrai dire, ceux qui tentent de discréditer l'enquête de la division investigations criminelles (dic), relative à l’affaire Bassirou Faye, ignore tout de l’immense travail effectué par les policiers. Hier, libération révélait que le principal suspect Tombon Oualy avait dérobé des munitions au commissariat du Point E. Selon des informations supplémentaires, les faits se sont déroulés, deux jours après, le meurtre de Bassirou Faye.
Tombon Oualy cherchait t-il ainsi à se couvrir si jamais il était interpellé sur la balle qui manquait dans son chargeur ? Les enquêteurs le croient? mais il y a un fait encore plus accablant.
En effet, Tombon Oualy n’a pas seulement intégré le dispositif mis en place par la police à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad).
Dans son rapport transmis au Procureur de la république, le chef de la Dic indique que le mis en cause présumé avait aussi pris possession d’une radio qu’il avait dérobée au niveau du poste mis en place au niveau du rectorat. Mieux, il s’est donné un indicatif qu’il n’avait pas? afin de pouvoir être au cœur du dispositif de communication de la police.
Interrogé sur procès-verbal, Tombon Oualy n’a pas nié ces deux faits. Tout juste argue t-il, que, du moment qu’il avait décidé venir en renfort à ses «frères», il était normal qu’il cherche les moyens de s’informer sur les déplacements des étudiants.
Il faut dire, qu’au sein de la hiérarchie policière, on s’offusque de certaines déclarations faites sans la moindre preuve et tendant à «blanchir» Oualy : «ceux qui le défendent n’ont qu’à rendre public les résultats de notre enquête, maintenant que le dossier est en instruction », peste un gradé de la police qui ajoute : «certains auraient aimé qu’un policier, dûment envoyé en service, soit interpellé pour espérer une indemnisation de l’Etat. Nous sommes des policiers et nous savons ce qui lie Tombon Oualy à certains organismes de défense des droits de l’homme. Lorsqu’il a démissionné de la gendarmerie, Tombon voulait porter plainte contre ses encadreurs pour torture. Et, justement il s’était rapproché de ceux qui le défendent, aujourd’hui».
Tombon Oualy cherchait t-il ainsi à se couvrir si jamais il était interpellé sur la balle qui manquait dans son chargeur ? Les enquêteurs le croient? mais il y a un fait encore plus accablant.
En effet, Tombon Oualy n’a pas seulement intégré le dispositif mis en place par la police à l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad).
Dans son rapport transmis au Procureur de la république, le chef de la Dic indique que le mis en cause présumé avait aussi pris possession d’une radio qu’il avait dérobée au niveau du poste mis en place au niveau du rectorat. Mieux, il s’est donné un indicatif qu’il n’avait pas? afin de pouvoir être au cœur du dispositif de communication de la police.
Interrogé sur procès-verbal, Tombon Oualy n’a pas nié ces deux faits. Tout juste argue t-il, que, du moment qu’il avait décidé venir en renfort à ses «frères», il était normal qu’il cherche les moyens de s’informer sur les déplacements des étudiants.
Il faut dire, qu’au sein de la hiérarchie policière, on s’offusque de certaines déclarations faites sans la moindre preuve et tendant à «blanchir» Oualy : «ceux qui le défendent n’ont qu’à rendre public les résultats de notre enquête, maintenant que le dossier est en instruction », peste un gradé de la police qui ajoute : «certains auraient aimé qu’un policier, dûment envoyé en service, soit interpellé pour espérer une indemnisation de l’Etat. Nous sommes des policiers et nous savons ce qui lie Tombon Oualy à certains organismes de défense des droits de l’homme. Lorsqu’il a démissionné de la gendarmerie, Tombon voulait porter plainte contre ses encadreurs pour torture. Et, justement il s’était rapproché de ceux qui le défendent, aujourd’hui».
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