Des militaires, avec à la tête un lieutenant-colonel répondant au nom de Emmanuel Zoungrana, ont tenté un coup de force mercredi à Ouagadougou. L’annonce a été faite par le parquet militaire, selon le quotidien Le Pays.
Le média local de renseigner que « huit militaires ont été interpellés et auditionnés », ainsi que l’ex-chef de corps du 12e régiment d’infanterie commando et commandant du secteur Ouest du groupement des forces de sécurisation du Nord. Ce dernier est considéré comme le cerveau de cette bande, qui projetait de déstabiliser les institutions de la République.
« Il fomentait (donc) un coup d’État contre le régime du président Roch Marc Christian Kaboré », lit-on par ailleurs. Bien des observateurs le redoutaient, pointe Le Pays, et ce, depuis le drame d’Inata, le 14 novembre dernier.
Cet évènement malheureux avait mis à nu de graves dysfonctionnements au sein de nos forces armées. Il a été dit que « des soupçons de complot en vue d’une déstabilisation du pouvoir avec des ramifications à l’étranger», pesaient sur des militaires, depuis les manifestations du 27 novembre dernier.
Comme ses voisins malien et nigérien, rappelle Le Quotidien, le Burkina Faso est pris depuis 2015, dans une spirale de violences attribuées à des groupes armés djihadistes, affiliés à Al-Qaïda et au groupe État Islamique, qui ont fait au moins 2.000 morts et 1,4 million de déplacés.
Le média local de renseigner que « huit militaires ont été interpellés et auditionnés », ainsi que l’ex-chef de corps du 12e régiment d’infanterie commando et commandant du secteur Ouest du groupement des forces de sécurisation du Nord. Ce dernier est considéré comme le cerveau de cette bande, qui projetait de déstabiliser les institutions de la République.
« Il fomentait (donc) un coup d’État contre le régime du président Roch Marc Christian Kaboré », lit-on par ailleurs. Bien des observateurs le redoutaient, pointe Le Pays, et ce, depuis le drame d’Inata, le 14 novembre dernier.
Cet évènement malheureux avait mis à nu de graves dysfonctionnements au sein de nos forces armées. Il a été dit que « des soupçons de complot en vue d’une déstabilisation du pouvoir avec des ramifications à l’étranger», pesaient sur des militaires, depuis les manifestations du 27 novembre dernier.
Comme ses voisins malien et nigérien, rappelle Le Quotidien, le Burkina Faso est pris depuis 2015, dans une spirale de violences attribuées à des groupes armés djihadistes, affiliés à Al-Qaïda et au groupe État Islamique, qui ont fait au moins 2.000 morts et 1,4 million de déplacés.
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