Le Premier ministre a clôturé la cérémonie de clôture du 2ème Sommet de Dakar sur le Financement des infrastructures en Afrique. C’est au bout de deux journées d’échanges intenses et de partage d’expériences sur la problématique de financement des infrastructures en Afrique, que d’importantes décisions ont été prises.
Des mesures sous forme de recommandations : de mettre l’accent sur la mobilisation des ressources nationales, le financement du secteur privé et les sources de financement innovantes telles que le financement climatique, les obligations vertes des investisseurs institutionnels et les obligations de la diaspora, entre autres, afin de compléter les ressources publiques, de répondre aux besoins de financement des infrastructures du continent ; de créer au sein de l'AUDA-NEPAD un fonds fiduciaire multi donateurs dédié à la préparation initiale des projets PIDA initiés par les États Membres de l'Union africaine avec les contributions des partenaires au développement, des institutions de financement du développement, du secteur privé et des Banques multilatérales de développement; d‘exhorter les États Membres à inclure les projets du PIDA dans leurs plans et budgets de développement nationaux et à lier le développement des infrastructures nationales aux infrastructures régionales et continentales; dappeler les Communautés économiques régionales à mener un processus par lequel les corridors de développement intégrés convenus pour les infrastructures deviendront des accords, adossés à des dispositions contraignantes; d‘exhorter les partenaires au développement, les institutions de financement du développement, les fonds de garantie, les secteurs bancaire et financier à travailler en étroite collaboration avec les institutions régionales et continentales pour parvenir à une synergie et à une cohérence entre les différents mécanismes mondiaux et nationaux de financement des infrastructures; de créer une plate-forme d'investissement PIDA multipartite pour suivre et contrôler la mise en œuvre des projets PIDA en général et ceux du programme d’actions prioritaire 2 en particulier.
Selon le Premier ministre, « en Afrique subsaharienne, les enjeux infrastructurels freinent la croissance économique nationale de 2% par an et réduisent la productivité de 40%. Seuls 38% de la population africaine ont accès à l'électricité, moins de 10% sont connectés à Internet et seulement 25% du réseau routier africain sont pavés. Le gap financier pour combler ce manque en services d'infrastructure s'élève à 130-170 milliards de dollars par an » fait-il savoir.
Pour les leaders, le PIDA 2, est composé de 22 projets sélectionnés par les communautés économiques régionales et les États Membres, visant à contribuer au développement d’une Afrique prospère et intégrée, fondée sur une croissance inclusive, des emplois décents et un développement durable, souligne Amadou Ba...
Des mesures sous forme de recommandations : de mettre l’accent sur la mobilisation des ressources nationales, le financement du secteur privé et les sources de financement innovantes telles que le financement climatique, les obligations vertes des investisseurs institutionnels et les obligations de la diaspora, entre autres, afin de compléter les ressources publiques, de répondre aux besoins de financement des infrastructures du continent ; de créer au sein de l'AUDA-NEPAD un fonds fiduciaire multi donateurs dédié à la préparation initiale des projets PIDA initiés par les États Membres de l'Union africaine avec les contributions des partenaires au développement, des institutions de financement du développement, du secteur privé et des Banques multilatérales de développement; d‘exhorter les États Membres à inclure les projets du PIDA dans leurs plans et budgets de développement nationaux et à lier le développement des infrastructures nationales aux infrastructures régionales et continentales; dappeler les Communautés économiques régionales à mener un processus par lequel les corridors de développement intégrés convenus pour les infrastructures deviendront des accords, adossés à des dispositions contraignantes; d‘exhorter les partenaires au développement, les institutions de financement du développement, les fonds de garantie, les secteurs bancaire et financier à travailler en étroite collaboration avec les institutions régionales et continentales pour parvenir à une synergie et à une cohérence entre les différents mécanismes mondiaux et nationaux de financement des infrastructures; de créer une plate-forme d'investissement PIDA multipartite pour suivre et contrôler la mise en œuvre des projets PIDA en général et ceux du programme d’actions prioritaire 2 en particulier.
Selon le Premier ministre, « en Afrique subsaharienne, les enjeux infrastructurels freinent la croissance économique nationale de 2% par an et réduisent la productivité de 40%. Seuls 38% de la population africaine ont accès à l'électricité, moins de 10% sont connectés à Internet et seulement 25% du réseau routier africain sont pavés. Le gap financier pour combler ce manque en services d'infrastructure s'élève à 130-170 milliards de dollars par an » fait-il savoir.
Pour les leaders, le PIDA 2, est composé de 22 projets sélectionnés par les communautés économiques régionales et les États Membres, visant à contribuer au développement d’une Afrique prospère et intégrée, fondée sur une croissance inclusive, des emplois décents et un développement durable, souligne Amadou Ba...
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