Pour Mamadou Diop Decroix, le Sénégal ne sera jamais épargné de scandales du genre (faux billets et passeports diplomatiques) tant que le mal n’est pas soigné à la racine. À Darou Moukhty où il présidait un meeting initié par AJ/Pads et son coordonnateur Pape Ndiaye, le leader politique a précisé n’avoir jamais cautionné ces manières de faire.
« Tant que le système reste le même, ces trafics de passeports diplomatiques et de faux billets ne s’estomperont jamais. C’est à la racine qu’il faut aller chercher le mal. Que l’immunité parlementaire des députés soit enlevée, qu’ils soient jugés ou même emprisonnés, cela ne résoudra pas le problème. » Mamadou Diop Decroix, qui fait preuve d'un pessimisme contenu, d’imaginer que l’année prochaine, un autre scandale pourrait faire jour.
Interpelé sur la violence en Casamance entre les militants d’Ousmane Sonko et de Doudou Kâ, il se voudra ferme. Pour lui, le terrain politique n’accepte que les débats d’idées à la place des coups de poing. « L’État est le responsable de la sécurité des populations. C’est de sa responsabilité. En politique, la violence n’a pas sa raison d’être ».
L’entretien qu’il a accordé à la presse en marge du meeting, lui permettra aussi d’évoquer les cas Guy Marius Sagna, Thierno Bocoum et Bougane Guèye. Parlant de l’activiste, il précisera que la solution n’est pas de l’envoyer en prison. « Un activiste comme Guy Marius Sagna ne devrait pas être en prison, mais il devrait être écouté parce qu’il ne fait répercuter les doléances des gens mécontents. Il doit être davantage écouté que persécuté. Ce qu’il fait c’est utile (…) »
« Tant que le système reste le même, ces trafics de passeports diplomatiques et de faux billets ne s’estomperont jamais. C’est à la racine qu’il faut aller chercher le mal. Que l’immunité parlementaire des députés soit enlevée, qu’ils soient jugés ou même emprisonnés, cela ne résoudra pas le problème. » Mamadou Diop Decroix, qui fait preuve d'un pessimisme contenu, d’imaginer que l’année prochaine, un autre scandale pourrait faire jour.
Interpelé sur la violence en Casamance entre les militants d’Ousmane Sonko et de Doudou Kâ, il se voudra ferme. Pour lui, le terrain politique n’accepte que les débats d’idées à la place des coups de poing. « L’État est le responsable de la sécurité des populations. C’est de sa responsabilité. En politique, la violence n’a pas sa raison d’être ».
L’entretien qu’il a accordé à la presse en marge du meeting, lui permettra aussi d’évoquer les cas Guy Marius Sagna, Thierno Bocoum et Bougane Guèye. Parlant de l’activiste, il précisera que la solution n’est pas de l’envoyer en prison. « Un activiste comme Guy Marius Sagna ne devrait pas être en prison, mais il devrait être écouté parce qu’il ne fait répercuter les doléances des gens mécontents. Il doit être davantage écouté que persécuté. Ce qu’il fait c’est utile (…) »
Autres articles
-
Renversement bus à Koungheul : Le bilan s'alourdit à 14 morts, le ministre des transports en route pour s'enquérir de la situation
-
Abidjan / 60ème session ministérielle de la CONFEMEN : “cette jeunesse à éduquer et à former est au cœur du nouveau Projet politique” (M. M. Guirassy, MEN)
-
Rapport 2022 : L’OFNAC recommande d’ériger la corruption en crime international
-
TOUBA- Un Hcct , coordonnateur de Rewmi dans la cité , quitte Idrissa Seck - Mafary Ndiaye évoque la convenance personnelle
-
Culture: Report de la 15e édition de la Biennale de l'Art africain contemporain " DAKAR'ART"