L’attaque de plusieurs villages dans le nord du Burkina Faso a fait onze (11) victimes civiles. Selon un communiqué du ministère burkinabè de la Défense et des Anciens combattants, c’est au moins 3 villages de la commune de Markoye, province de l’Oudalan qui ont été ciblés par des individus armés ce mercredi 4 août, vers 12 heures.
Alertée, l’armée, soutenue par des volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), s'est transportée sur les lieux de l’incident. Mais les militaires et les VDP ont été pris à partie par les présumés djihadistes « dans les environs du village de Tokabangou » et l’opération s’est soldée par la mort d’au moins 15 soldats burkinabé et de 4 VDP.
Le communiqué rendu public ce jeudi 5 août fait également état de la neutralisation d’une une dizaine de « terroristes ».
Le 5 juin dernier, près de 200 civils avaient été massacrés au village de Solhan, province du Yagha, dans la région du Sahel.
Attribuée à l’État Islamique dans le Grand Sahara par certains spécialistes, l’enquête a révélé que c’est un groupe proche du GSIM qui en serait l’auteur. Pourtant, la filiale d’Al Qaïda au Sahel avait clamé son innocence à travers un communiqué diffusé par sa branche médiatique.
Dans un numéro de son hebdomadaire « Al Naba », l’État Islamique considère le communiqué du GSIM comme une tentative de se dérober. Les deux groupes sont en compétition dans le Sahel et se sont affrontés dans une guerre fratricide au cours de laquelle chaque camp a perdu des combattants.
Alertée, l’armée, soutenue par des volontaires pour la défense de la Patrie (VDP), s'est transportée sur les lieux de l’incident. Mais les militaires et les VDP ont été pris à partie par les présumés djihadistes « dans les environs du village de Tokabangou » et l’opération s’est soldée par la mort d’au moins 15 soldats burkinabé et de 4 VDP.
Le communiqué rendu public ce jeudi 5 août fait également état de la neutralisation d’une une dizaine de « terroristes ».
Le 5 juin dernier, près de 200 civils avaient été massacrés au village de Solhan, province du Yagha, dans la région du Sahel.
Attribuée à l’État Islamique dans le Grand Sahara par certains spécialistes, l’enquête a révélé que c’est un groupe proche du GSIM qui en serait l’auteur. Pourtant, la filiale d’Al Qaïda au Sahel avait clamé son innocence à travers un communiqué diffusé par sa branche médiatique.
Dans un numéro de son hebdomadaire « Al Naba », l’État Islamique considère le communiqué du GSIM comme une tentative de se dérober. Les deux groupes sont en compétition dans le Sahel et se sont affrontés dans une guerre fratricide au cours de laquelle chaque camp a perdu des combattants.
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