L’agent judiciaire de l’Etat, après son confrère Juan Branco, a regretté la procédure déjà entreprise en faisant une « plaidoirie politique ». « Cette Cour n’est pas une tribune politique. Je précise que Me Branco commence par dire qu’il sollicite la libération de Sonko qui aurait été détenu injustement. Ousmane Sonko a été emprisonné pour des faits criminels, graves. Il a été déféré, ses avocats ont placé des arguments et le juge l’a condamné. Il n’y a pas de détenu politique au Sénégal. Nous sommes un État de droits. Au Sénégal, toutes les procédures sont respectées. L’Etat de droits, c’est d’abord la soumission des citoyens au droit » rappelle Me Yoro Moussa Diallo qui est assisté par Me Samba Bitèye et Me Félix Moussa Sow devant la Cour qui statue ce lundi sur la requête des avocats de Sonko sur la radiation des listes et l’annulation de la dissolution du parti Pastef.
Sur la réintégration de Sonko sur les listes électorales, l’agent judiciaire de l’Etat rappelle que les membres de la CENA ont été simplement remplacés car, ils ont épuisé leur mandat. Aussi, ajoute l’avocat de l'Etat, « la CENA n’a pas donné des injonctions à la DGE ».
Concernant la dissolution du parti Pastef, Me Yoro Moussa Sow indique que nous sommes dans un Etat démocratique et il faut respecter les institutions. « Un parti qui autorise les formes de violences, n’a pas sa place dans un Etat droit ». Pour finir, l’avocat estime qu’au Sénégal, « les voies de recours sont bien respectées. Toutefois, Ousmane Sonko s’est mis lui-même dans cet état dans lequel il se trouve actuellement. Bref, dira l’avocat, « les motifs de l’urgence ne sont pas établis ».
Sur la réintégration de Sonko sur les listes électorales, l’agent judiciaire de l’Etat rappelle que les membres de la CENA ont été simplement remplacés car, ils ont épuisé leur mandat. Aussi, ajoute l’avocat de l'Etat, « la CENA n’a pas donné des injonctions à la DGE ».
Concernant la dissolution du parti Pastef, Me Yoro Moussa Sow indique que nous sommes dans un Etat démocratique et il faut respecter les institutions. « Un parti qui autorise les formes de violences, n’a pas sa place dans un Etat droit ». Pour finir, l’avocat estime qu’au Sénégal, « les voies de recours sont bien respectées. Toutefois, Ousmane Sonko s’est mis lui-même dans cet état dans lequel il se trouve actuellement. Bref, dira l’avocat, « les motifs de l’urgence ne sont pas établis ».
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