Le ministre de l’économie numérique et des télécommunications, Yankhoba Diattara, a présidé hier un atelier de régulation et de la compliance dans la gestion des données personnelles.
L’État a décidé de moderniser la loi qui régit les données personnelles et c’est une nécessité selon le ministre de suivre le rythme de ce secteur très dynamique. Le Sénégal s’est doté, en 2018, d’un arsenal juridique, notamment la loi sur la protection des données à caractère personnel (LCDP), et d’une commission des données personnelles (CDP) de manière à garantir un niveau de protection adéquat. »
Aujourd’hui, nous constatons que son évolution dépasse souvent celle du cadre juridique et réglementaire. De ce point de vue, certaines dispositions deviennent caduques très rapidement compte tenu du dynamisme du secteur, justifie-t-il.
Il y a aussi une prise de conscience de l’importance de la gestion des données personnelles.
Le Sénégal se présente en précurseur sur le continent et anticipe sur la responsabilité de mise en place d’une législation historique, mais également innovante. Cela signifie que nous devons adopter de nouvelles lois pour suivre le rythme de l’évolution numérique, mais aussi adopter la manière dont nous utilisons les instructions et le processus pour protéger efficacement les droits de l’homme et trouver le bon équilibre face à l’influence croissante des grandes entreprises axées sur les données.
Le gouvernement adosse ces réformes sur la stratégie nationale Sénégal numérique 2025, communément appelée SN2025, arrimée au plan Sénégal émergent (Pse) pour démocratiser l’accès au net avec un écosystème sûr et fiable. Le coût total de Sn2025 est estimé à 1106,46 milliards...
L’État a décidé de moderniser la loi qui régit les données personnelles et c’est une nécessité selon le ministre de suivre le rythme de ce secteur très dynamique. Le Sénégal s’est doté, en 2018, d’un arsenal juridique, notamment la loi sur la protection des données à caractère personnel (LCDP), et d’une commission des données personnelles (CDP) de manière à garantir un niveau de protection adéquat. »
Aujourd’hui, nous constatons que son évolution dépasse souvent celle du cadre juridique et réglementaire. De ce point de vue, certaines dispositions deviennent caduques très rapidement compte tenu du dynamisme du secteur, justifie-t-il.
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Le Sénégal se présente en précurseur sur le continent et anticipe sur la responsabilité de mise en place d’une législation historique, mais également innovante. Cela signifie que nous devons adopter de nouvelles lois pour suivre le rythme de l’évolution numérique, mais aussi adopter la manière dont nous utilisons les instructions et le processus pour protéger efficacement les droits de l’homme et trouver le bon équilibre face à l’influence croissante des grandes entreprises axées sur les données.
Le gouvernement adosse ces réformes sur la stratégie nationale Sénégal numérique 2025, communément appelée SN2025, arrimée au plan Sénégal émergent (Pse) pour démocratiser l’accès au net avec un écosystème sûr et fiable. Le coût total de Sn2025 est estimé à 1106,46 milliards...
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