« À moins de trois mois du grand Magal, il est temps pour Touba de savoir ce qui est possible et ce qui ne le sera pas »… Les mots sont de Serigne Ousmane Mbacké Gaïndé Fatma.
Pour le coordinateur du Grand Magal, le prochain se passera en plein hivernage et les incertitudes sont multiples. « Nous tous le savions déjà. Il s’impose alors au vu de ce qu’on sait d’un événement d’une telle envergure en plein hivernage que les autorités gèrent les choses les plus pressées.
Les magal nécessitent toujours des programmes d’urgence ». Pour ce qui concerne l’eau, il fait une remarque : « Si pour avoir de l’eau, on oblige le demandeur à acheter du carburant, c’est comme si on lui demandait d’acheter l’eau ».
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