L'attaque s'est terminée ce dimanche matin, après douze heures de siège. Parmi les victimes, on compte 12 policiers, des gardes et des résidents de l'hôtel. Selon une source policière, une femme a aussi été décapitée et ses trois enfants abattus.
Du côté des assaillants, deux combattants islamistes sont morts en déclenchant leur ceinture d'explosifs. Trois autres ont pu être capturés vivants par les forces de sécurité somaliennes.
Il est aussi possible que des membres du commando islamiste aient réussi à s'échapper, en se mêlant aux clients de l'hôtel, au moment des opérations de secours. C'est ce qu'a affirmé une source policière.
Les shebabs - qui sont affiliés à al-Qaïda - ont immédiatement revendiqué cet attentat, via leur canal de communication habituel, la radio Al-Andalous.
L'assaut a débuté vers 17 heures, heure locale. Les assaillants sont entrés dans l'hôtel Nasa Hablod, juste après avoir fait sauté son portail grâce à l'explosion d'un premier véhicule piégé. Puis, quelques minutes plus tard, une deuxième explosion est survenue à proximité, cette fois, des anciens locaux du Parlement.
Il s’agit d’un mode opératoire fréquemment utilisé par les shebabs et qui rappelle l'attentat du 14 octobre dernier, au camion piégé, qui avait fait 358 morts et qui, lui, n'a pas été revendiqué.
Du côté des assaillants, deux combattants islamistes sont morts en déclenchant leur ceinture d'explosifs. Trois autres ont pu être capturés vivants par les forces de sécurité somaliennes.
Il est aussi possible que des membres du commando islamiste aient réussi à s'échapper, en se mêlant aux clients de l'hôtel, au moment des opérations de secours. C'est ce qu'a affirmé une source policière.
Les shebabs - qui sont affiliés à al-Qaïda - ont immédiatement revendiqué cet attentat, via leur canal de communication habituel, la radio Al-Andalous.
L'assaut a débuté vers 17 heures, heure locale. Les assaillants sont entrés dans l'hôtel Nasa Hablod, juste après avoir fait sauté son portail grâce à l'explosion d'un premier véhicule piégé. Puis, quelques minutes plus tard, une deuxième explosion est survenue à proximité, cette fois, des anciens locaux du Parlement.
Il s’agit d’un mode opératoire fréquemment utilisé par les shebabs et qui rappelle l'attentat du 14 octobre dernier, au camion piégé, qui avait fait 358 morts et qui, lui, n'a pas été revendiqué.
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