Alors que la caravane de la coalition "Sénégaal Kessé" défilait sur les artères de la ville de Ourossogui, la tête de liste a eu la surprise d'être bloquée par la gendarmerie pendant quelques minutes , le temps de faire passer le convoi de Pastef, dans la même zone.
"Nous apprîmes que la caravane du candidat Sonko arrivait dans le sens opposé, et la Gendarmerie ne nous demandait rien moins que de lui céder le passage. Un des gendarmes lance un ordre au chauffeur de notre voiture de tête de cortège avec une bordée d'injures.Naturellement, refus d'obtempérer devant un ordre illégal et révoltant.Alors les gendarmes mettent l’un de leurs véhicules en travers de notre voie, nous obligeant à assister au passage du Roi de Ndoumbelane. Car ce n'est pas une simple caravane de campagne qui passe, mais une cour royale.Tout y passe, depuis la Hummer blanche de sa majesté, ses deux ambulances (dont une marquée ministère de la Santé, une autre luxueuse), l'indécente orgie de 4 x4 rutilantes, des bus de location, une cour importée depuis Dakar. Des éléments de la BIP (et apparemment du GIGN), des véhicules sans plaque minéralogique. Ce manège, défilant à travers le Sénégal, frôlant les cases de chaume et les abris précaires des populations, est d’une violence symbolique inouïe envers nos concitoyens", fait savoir l’ancien ministre Thierno Alassane Sall. Très en colère, ,TAS de rappeler qu’un candidat qui hier dénonçait « la gendarmerie de Macky Sall » montre aujourd’hui que rien n’a changé, si ce n’est le parrain du système. Pendant que 41 listes, dont la nôtre, financent leur propre sécurité, la Gendarmerie devrait protéger chaque Sénégalais sans passe-droit. L’institution existe pour veiller à la sécurité des citoyens, non pour dérouler le tapis rouge à un candidat abusant des moyens de l’État", dénonce, Thierno Alassane Sall, tête de liste de la coalition" Sénégaal Kessé".
"Nous apprîmes que la caravane du candidat Sonko arrivait dans le sens opposé, et la Gendarmerie ne nous demandait rien moins que de lui céder le passage. Un des gendarmes lance un ordre au chauffeur de notre voiture de tête de cortège avec une bordée d'injures.Naturellement, refus d'obtempérer devant un ordre illégal et révoltant.Alors les gendarmes mettent l’un de leurs véhicules en travers de notre voie, nous obligeant à assister au passage du Roi de Ndoumbelane. Car ce n'est pas une simple caravane de campagne qui passe, mais une cour royale.Tout y passe, depuis la Hummer blanche de sa majesté, ses deux ambulances (dont une marquée ministère de la Santé, une autre luxueuse), l'indécente orgie de 4 x4 rutilantes, des bus de location, une cour importée depuis Dakar. Des éléments de la BIP (et apparemment du GIGN), des véhicules sans plaque minéralogique. Ce manège, défilant à travers le Sénégal, frôlant les cases de chaume et les abris précaires des populations, est d’une violence symbolique inouïe envers nos concitoyens", fait savoir l’ancien ministre Thierno Alassane Sall. Très en colère, ,TAS de rappeler qu’un candidat qui hier dénonçait « la gendarmerie de Macky Sall » montre aujourd’hui que rien n’a changé, si ce n’est le parrain du système. Pendant que 41 listes, dont la nôtre, financent leur propre sécurité, la Gendarmerie devrait protéger chaque Sénégalais sans passe-droit. L’institution existe pour veiller à la sécurité des citoyens, non pour dérouler le tapis rouge à un candidat abusant des moyens de l’État", dénonce, Thierno Alassane Sall, tête de liste de la coalition" Sénégaal Kessé".
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