Kolda est en émoi depuis la découverte macabre de l’imam Oumar Diao, retrouvé mort dans des conditions qui échappent encore à toute logique rationnelle. D’abord évoquée comme une disparition naturelle, cette fin troublante prend désormais les allures d’un potentiel homicide, avec des éléments qui sèment le doute dans l’esprit des enquêteurs et une garde à vue prolongée de trois proches du défunt, dont sa propre épouse.
Selon les informations révélées par L’Observateur, tout commence dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 juin 2025, quand le corps de l’imam est retrouvé dans un état alarmant, sans vie apparente. Ses proches — notamment son fils et un de ses chambellans — le transportent alors à son domicile, lui changent ses habits dans une tentative d’effacer ce qui ressemble à un passage de douleur, puis le conduisent vers une structure sanitaire. Mais le religieux rendra l’âme en cours de route.
Une cérémonie mortuaire brusquement interrompue
Le lendemain, alors que la communauté s’apprête à rendre un dernier hommage à l’imam à travers les rites de lavage mortuaire, la scène prend une tournure glaçante. Les thanatopracteurs alertent la gendarmerie après avoir découvert une plaie béante au niveau du bas-ventre, avec des intestins partiellement sortis du corps.
Un détail macabre qui ne colle pas avec un décès naturel ou même accidentel. Une arme blanche ensanglantée et un ventilateur auraient été saisis sur les lieux, éléments qui pourraient jouer un rôle central dans la suite de l’enquête. Le rituel mortuaire est alors suspendu, et la gendarmerie prend les choses en main.
Trois proches en garde à vue, des hypothèses qui s’entrechoquent
Dans ce climat de suspicion, l’épouse de l’imam, son jeune frère et une troisième personne sont interpellés par les forces de l’ordre et placés en garde à vue au commissariat urbain de Kolda. Les enquêteurs veulent comprendre ce qu’il s’est réellement passé dans les dernières heures de la vie de l’imam Diao, une figure respectée de la communauté.
Meurtre déguisé ? Suicide par mutilation ? Mort naturelle suivie d’une dissimulation maladroite ? Les hypothèses les plus folles circulent, mais l’autopsie, encore attendue à ce jour, reste le seul outil capable de lever un coin du voile sur cette affaire aux contours de plus en plus sombres.
Selon les informations révélées par L’Observateur, tout commence dans la nuit du vendredi 13 au samedi 14 juin 2025, quand le corps de l’imam est retrouvé dans un état alarmant, sans vie apparente. Ses proches — notamment son fils et un de ses chambellans — le transportent alors à son domicile, lui changent ses habits dans une tentative d’effacer ce qui ressemble à un passage de douleur, puis le conduisent vers une structure sanitaire. Mais le religieux rendra l’âme en cours de route.
Une cérémonie mortuaire brusquement interrompue
Le lendemain, alors que la communauté s’apprête à rendre un dernier hommage à l’imam à travers les rites de lavage mortuaire, la scène prend une tournure glaçante. Les thanatopracteurs alertent la gendarmerie après avoir découvert une plaie béante au niveau du bas-ventre, avec des intestins partiellement sortis du corps.
Un détail macabre qui ne colle pas avec un décès naturel ou même accidentel. Une arme blanche ensanglantée et un ventilateur auraient été saisis sur les lieux, éléments qui pourraient jouer un rôle central dans la suite de l’enquête. Le rituel mortuaire est alors suspendu, et la gendarmerie prend les choses en main.
Trois proches en garde à vue, des hypothèses qui s’entrechoquent
Dans ce climat de suspicion, l’épouse de l’imam, son jeune frère et une troisième personne sont interpellés par les forces de l’ordre et placés en garde à vue au commissariat urbain de Kolda. Les enquêteurs veulent comprendre ce qu’il s’est réellement passé dans les dernières heures de la vie de l’imam Diao, une figure respectée de la communauté.
Meurtre déguisé ? Suicide par mutilation ? Mort naturelle suivie d’une dissimulation maladroite ? Les hypothèses les plus folles circulent, mais l’autopsie, encore attendue à ce jour, reste le seul outil capable de lever un coin du voile sur cette affaire aux contours de plus en plus sombres.
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