Et de deux pour la reprise des cours au Sénégal! Et les plus sceptiques marquent leur étonnement en pensant tout bas « espérons que cette fois ci sera la bonne... »
En effet, certains syndicats d’enseignants à l’image du Saems, plaident pour le retour, mais seulement sous certaines conditions, qui n’ont apparemment pas dû être satisfaites, vu leur position qui se résume à une décision précipitée du gouvernement et sans consentement aucun. Alors comment répondre à l’appel du ministre Mamadou Talla qui invite les acteurs, les partenaires, les collectivités territoriales, la société civile, les syndicats, les enseignants et les élèves à se mobiliser autour de cette réouverture des classes pendant que des acteurs déplorent certains manquements?
Annoncée une première fois le 2 juin dernier, la reprise des cours aura finalement lieu le 25 juin pour les élèves en classe d’examen. Ces mêmes élèves qui ont gouté aux saveurs du repos et qui aujourd’hui ont la flegme de reprendre le chemin de l’école ou tout au moins ne manifestent aucun enthousiasme à la joie de reprendre les cours en présentiel habitués qu’ils sont depuis quelques mois à suivre les cours en ligne en tout cas pour certains. Et si on parlait justement de ses cours en ligne? Une méthode popularisée dans le contexte de la covid 19 pour limiter la propagation du virus. Les formations en ligne ont permis de casser l'emploi du temps que les professeurs ont l’habitude de préparer à l’école. Les formations en ligne ont permis de décider à quel moment étudier. Et le plus confortable dans tout, c’est que dans la praticité de l’enseignement en ligne, il est tout à fait possible pour l’élève de rester dans son pyjama et de faire ses devoirs. Apprendre dans un environnement qui est extrêmement familier permet souvent de travailler plus facilement, car cela évite d'être distrait par les autres étudiants. Seulement, il est connu que s'éduquer dans une classe traditionnelle donne une dimension sociale. L’autre avantage requiert aussi une certaine autodiscipline car si les participants ont des problèmes d'autodiscipline, il y a très peu de chance qu'ils seront suffisamment motivés pour terminer leur formation en ligne car il n'y a pas d'enseignant physiquement présent pour les pousser à étudier.
Ainsi l’annonce de la rentrée pour les classes d’examen du CM2, de la troisième et de la terminale, de même que les écoles d’enseignement technique et professionnel devrait permettre aux élèves concernés de se présenter aux examens scolaires et académiques, dans les prochains mois même si cela doit perturber le calendrier habituel de l’année académique et de ses vacances pour influencer l’ouverture des classes de l’année prochaine.
Seulement, il y’a d’un coté le tableau noir qu'aucune craie n'a parcouru depuis plus de trois mois. De l'autre, une décision prise en conseil des ministres avec cette consigne qui tient en quelques mots : retour à l'école le 25 juin. Entre les deux, des élèves, des parents et des enseignants qui se demandent dans quelles conditions les cours vont reprendre alors qu’ils sont encore sous la hantise de l'épidémie de la maladie à coronavirus avec son lot quotidien de contamination et de son nombre de décès. Ce qui inquiète certains, c’est que les acteurs qui n’ont pas été consultés se soient mis devant le fait accompli sans tambours ni trompette. Pour eux la date de la reprise devrait faire l’objet d’un large partage pour éviter des couacs qui seront un nouvel échec qui serait catastrophique pour le secteur de l’éducation. Ces mêmes voix réticentes de dire que l’État peinerait à faire respecter dans certains établissements scolaires les mesures édictées pour lutter contre le coronavirus en plus il faudra conjuguer avec le facteur stigmatisation dont certains enseignants atteints de la covid comme ceux de Ziguinchor continuent de faire l’objet.
Et je mentionne dans mon cahier d’un retour à l’école que cette reprise des cours à mon avis doit être encadré pour un respect strict des mesures afin de mettre enseignants et élèves dans d’excellentes conditions pour que l’école, notre chère école, ne soit un foyer de la propagation de la covid-19.
Mon point faible en tant qu’apprenant c’est que je ne suis pas le président de la République, encore moins le ministre de l’éducation. Mais mon point fort, c’est mon positionnement parce que je crois qu’aujourd’hui la vraie ligne politique ce sont les faits et les faits mentionnent que la maladie est toujours là et qu’il faudra nous protéger car le coronavirus qui avait précipité la suspension depuis le 16 mars les enseignements scolaires, techniques, professionnels et universitaires , eh bien ce même coronavirus est toujours là et continue son inexorable propagation dans le pays.
En effet, certains syndicats d’enseignants à l’image du Saems, plaident pour le retour, mais seulement sous certaines conditions, qui n’ont apparemment pas dû être satisfaites, vu leur position qui se résume à une décision précipitée du gouvernement et sans consentement aucun. Alors comment répondre à l’appel du ministre Mamadou Talla qui invite les acteurs, les partenaires, les collectivités territoriales, la société civile, les syndicats, les enseignants et les élèves à se mobiliser autour de cette réouverture des classes pendant que des acteurs déplorent certains manquements?
Annoncée une première fois le 2 juin dernier, la reprise des cours aura finalement lieu le 25 juin pour les élèves en classe d’examen. Ces mêmes élèves qui ont gouté aux saveurs du repos et qui aujourd’hui ont la flegme de reprendre le chemin de l’école ou tout au moins ne manifestent aucun enthousiasme à la joie de reprendre les cours en présentiel habitués qu’ils sont depuis quelques mois à suivre les cours en ligne en tout cas pour certains. Et si on parlait justement de ses cours en ligne? Une méthode popularisée dans le contexte de la covid 19 pour limiter la propagation du virus. Les formations en ligne ont permis de casser l'emploi du temps que les professeurs ont l’habitude de préparer à l’école. Les formations en ligne ont permis de décider à quel moment étudier. Et le plus confortable dans tout, c’est que dans la praticité de l’enseignement en ligne, il est tout à fait possible pour l’élève de rester dans son pyjama et de faire ses devoirs. Apprendre dans un environnement qui est extrêmement familier permet souvent de travailler plus facilement, car cela évite d'être distrait par les autres étudiants. Seulement, il est connu que s'éduquer dans une classe traditionnelle donne une dimension sociale. L’autre avantage requiert aussi une certaine autodiscipline car si les participants ont des problèmes d'autodiscipline, il y a très peu de chance qu'ils seront suffisamment motivés pour terminer leur formation en ligne car il n'y a pas d'enseignant physiquement présent pour les pousser à étudier.
Ainsi l’annonce de la rentrée pour les classes d’examen du CM2, de la troisième et de la terminale, de même que les écoles d’enseignement technique et professionnel devrait permettre aux élèves concernés de se présenter aux examens scolaires et académiques, dans les prochains mois même si cela doit perturber le calendrier habituel de l’année académique et de ses vacances pour influencer l’ouverture des classes de l’année prochaine.
Seulement, il y’a d’un coté le tableau noir qu'aucune craie n'a parcouru depuis plus de trois mois. De l'autre, une décision prise en conseil des ministres avec cette consigne qui tient en quelques mots : retour à l'école le 25 juin. Entre les deux, des élèves, des parents et des enseignants qui se demandent dans quelles conditions les cours vont reprendre alors qu’ils sont encore sous la hantise de l'épidémie de la maladie à coronavirus avec son lot quotidien de contamination et de son nombre de décès. Ce qui inquiète certains, c’est que les acteurs qui n’ont pas été consultés se soient mis devant le fait accompli sans tambours ni trompette. Pour eux la date de la reprise devrait faire l’objet d’un large partage pour éviter des couacs qui seront un nouvel échec qui serait catastrophique pour le secteur de l’éducation. Ces mêmes voix réticentes de dire que l’État peinerait à faire respecter dans certains établissements scolaires les mesures édictées pour lutter contre le coronavirus en plus il faudra conjuguer avec le facteur stigmatisation dont certains enseignants atteints de la covid comme ceux de Ziguinchor continuent de faire l’objet.
Et je mentionne dans mon cahier d’un retour à l’école que cette reprise des cours à mon avis doit être encadré pour un respect strict des mesures afin de mettre enseignants et élèves dans d’excellentes conditions pour que l’école, notre chère école, ne soit un foyer de la propagation de la covid-19.
Mon point faible en tant qu’apprenant c’est que je ne suis pas le président de la République, encore moins le ministre de l’éducation. Mais mon point fort, c’est mon positionnement parce que je crois qu’aujourd’hui la vraie ligne politique ce sont les faits et les faits mentionnent que la maladie est toujours là et qu’il faudra nous protéger car le coronavirus qui avait précipité la suspension depuis le 16 mars les enseignements scolaires, techniques, professionnels et universitaires , eh bien ce même coronavirus est toujours là et continue son inexorable propagation dans le pays.
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