Le premier ministre Ousmane Sonko, tient ce vendredi 27 décembre 2024 sa déclaration de politique générale. Face aux députés, le chef du gouvernement a abordé le domaine économique en accusant le régime précédent d’être responsable et d’opérateurs économiques de signer certains marchés parfois sans contrat. Selon lui, « certains d’entre eux sont malheureusement ou tout de moins, co-auteurs avec l'État des dérives constatées en acceptant d’exécuter des marchés par anticipation et quelques fois sans contrat »
Par conséquent, il a fait l’annonce d’évaluer la situation de chacun avant de procéder aux paiements selon les moyens de l’Etat durant l’année 2025. Dans cette même lancée, il informe que des audits fiscaux sont lancés pour lutter contre la fraude fiscale et l’évitement fiscal. Il affirme que cet exercice de construction, cet exercice de déconstruction, redressement et construction nécessite un dialogue social fécond.
Sur instruction du président de la République, une situation de référence des revendications sociales sera traitée dès le début de l’année 2025 au travers de rencontres avec les organisations syndicales. « Le maître mot sera un exercice de vérité et de responsabilité en s’accordant sur ce qui est réaliste et supportable par l’Etat, de ce qui est hors de la portée des moyens publics et donc à surseoir jusqu’à meilleur fortuit », dit-il.
Par conséquent, il a fait l’annonce d’évaluer la situation de chacun avant de procéder aux paiements selon les moyens de l’Etat durant l’année 2025. Dans cette même lancée, il informe que des audits fiscaux sont lancés pour lutter contre la fraude fiscale et l’évitement fiscal. Il affirme que cet exercice de construction, cet exercice de déconstruction, redressement et construction nécessite un dialogue social fécond.
Sur instruction du président de la République, une situation de référence des revendications sociales sera traitée dès le début de l’année 2025 au travers de rencontres avec les organisations syndicales. « Le maître mot sera un exercice de vérité et de responsabilité en s’accordant sur ce qui est réaliste et supportable par l’Etat, de ce qui est hors de la portée des moyens publics et donc à surseoir jusqu’à meilleur fortuit », dit-il.
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