« Chapeau bas aux forces de défense et de sécurité ! »
La phrase est de Moustapha Diakhaté, l’ancien Président du groupe parlementaire de BBY qui n’a pas manqué de jouer sa partition à l’occasion de la journée de manif.
Le leader politique a juste qualifié de triple fiasco « ce vendredi de YAW. »
In extenso sa déclaration :
« Triple fiasco du vendredi de Yewwi : échec de la terreur comme outil politique
1. Fiasco politique avec la faible mobilisation des populations,
2. Fiasco juridique avec la validation par la Cour suprême de l’arrêté préfectoral interdisant la manifestation,
3. Fiasco moral avec la vidéo où on voit Monsieur Sonko quémander la sollicitude des forces de l’ordre pour laisser son épouse déposer son fils à l’école à bord d’une rutilante Mercedes, au moment où il s’apprête à utiliser les enfants d’autres Sénégalais comme chair à canon.
Désormais Yewwi, ses mercenaires électoraux et autres tirailleurs constitutionnalistes doivent se le tenir pour dit:
1. les élections législatives prévues le 31 juillet 2022 auront bel et bien lieu sans la liste proportionnelle nationale titulaire de Yewwi.
2. Il est inadmissible qu’un groupuscule extrémiste veuille tirer avantage de ses propres turpitudes et dicter sa terreur à la République.
3. désormais, le gouvernement doit décréter la tolérance zéro pour les bravades et outrances de Yewwi ».
Un fiasco que réfutent certains leader de Yewwi qui estiment que la manif a bien eu lieu.
La phrase est de Moustapha Diakhaté, l’ancien Président du groupe parlementaire de BBY qui n’a pas manqué de jouer sa partition à l’occasion de la journée de manif.
Le leader politique a juste qualifié de triple fiasco « ce vendredi de YAW. »
In extenso sa déclaration :
« Triple fiasco du vendredi de Yewwi : échec de la terreur comme outil politique
1. Fiasco politique avec la faible mobilisation des populations,
2. Fiasco juridique avec la validation par la Cour suprême de l’arrêté préfectoral interdisant la manifestation,
3. Fiasco moral avec la vidéo où on voit Monsieur Sonko quémander la sollicitude des forces de l’ordre pour laisser son épouse déposer son fils à l’école à bord d’une rutilante Mercedes, au moment où il s’apprête à utiliser les enfants d’autres Sénégalais comme chair à canon.
Désormais Yewwi, ses mercenaires électoraux et autres tirailleurs constitutionnalistes doivent se le tenir pour dit:
1. les élections législatives prévues le 31 juillet 2022 auront bel et bien lieu sans la liste proportionnelle nationale titulaire de Yewwi.
2. Il est inadmissible qu’un groupuscule extrémiste veuille tirer avantage de ses propres turpitudes et dicter sa terreur à la République.
3. désormais, le gouvernement doit décréter la tolérance zéro pour les bravades et outrances de Yewwi ».
Un fiasco que réfutent certains leader de Yewwi qui estiment que la manif a bien eu lieu.
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