Latif Coulibaly vide son chargeur sur l'ex-Président de la République : "Me Wade se trompe d'époque, mais force restera à la loi"


Latif Coulibaly vide son chargeur  sur l'ex-Président de la République : "Me Wade se trompe d'époque, mais force restera à la loi"
DAKARACTU.COM  Contre toute attente, le journaliste-chroniqueur Abdoulatif Coulibaly, devenu ministre de la République s'est invité sur le plateau du Journal Télévisé de la Rts. Interpellé sur la dernière sortie de l'ex chef de l’État (ndlr:Me Wade), promettant de porter plainte contre Macky Sall pour "enrichissement illicite", Latif, comme le surnomment ses proches a laissé entendre que "Me Wade se trompe vraiment d'époque. Il croit qu'il vit encore la période 88-89, alors qu'il était farouche opposant du régime socialiste (...)". Selon le ministre de la Bonne Gouvernance, "justice se fera et force restera à la loi" avant de se demander "dans quelle République se croient les gens du Pds." A ses yeux, le régime sortant a géré le pays pendant 12 ans, "ils sont donc tenus de rendre compte" renchérit-il.  Non sans conclure que "les audits s’inscrivent dans une démarche consistant à montrer aux Sénégalais les situations de gestion chaotique qui se sont passées".
Mardi 13 Novembre 2012



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41.Posté par Un citoyen lambda le 13/11/2012 14:36
Macky fait tout pour chauffer le climat social et politique. Il est tombe dans piège tendu par le PDS. Cette situation n'est profitable qu'au PDS, et aux marabouts qui vont se présenter comme arbitre d'un conflit politico-économique. Macky n'est vraiment pas un bon stratège. Il semble ne pas avoir profiter des leçons politiques de son diable de maître, Abdoulaye wade.

42.Posté par Guiss guiss le 13/11/2012 14:44
Latif n'est pas intelligent. Macky sall va l'utiliser comme bouclier d'une bataille a mort avec le PDS et ses bandits de grand chemin. Il ne devait comprendre que ce poste de Ministre de la bonne gouvernance est le plus expose du mandat de Macky qui va beaucoup l'utiliser. Il n'a pas vu venir, il n'en sortira pas indemne. Lutter contrer des bandits, c'est un risque majeur. J'ai pitié de Latif, et de se parents et amis.

43.Posté par Samba Alassane Thiam le 13/11/2012 15:55
Twitter
Le statut du chef de l'opposition implique une attitude et des actes conformes à la légalité. Déroger à cet esprit républicain, c'est violer la Constitution et défier l'autorité de son Gardien.

44.Posté par MERDE APR le 13/11/2012 16:07
samba alassane thiam;nopil do touss on t conné tu na aucun diplome et macky ta nommé a lambassade dafrik du sud; guémo dara ; espece de lodateur ;merde

45.Posté par Bass DIOP le 13/11/2012 17:05
Bounkhatab, vous pouvez être de bonne foi en croyant aux qualités d'un homme, mais laissez le droit aux autres qui le connaissent peut être mieux que vous, le soin de le juger sur la base d'éléments hors de votre portée. Latif est un aîné du Saloum, qui m'a devancé de trois années à l'école. Mais le monsieur n'a pas les qualités qu'on lui prête du fait de son opposition au système du président Abdoulaye WADE. Latif a profité de tous les systèmes, en s'appuyant sur des gens, qu'il l'a vite fait de lâcher, en les compromettant : Babacar TOURE de Sud FM, en bon grand frère, lui faisait des confidences, qu'il tirait directement de ses relations personnelles et amicales avec la famille WADE, Latif en a utilisées certaines, pour étayer un argumentaire sur Madame WADE. Saviez vous qu'au début de l'alternance, Latif gagnait des marchés avec la poste sous le couvert d'une société au nom de son épouse. Latif est un homme capable de brouter sur les herbes les plus nauséabondes, pourvu seulement qu'il y trouve son pain. Saviez vous que Latif a monté de toute pièce "Y 'en a marre", à travers un de ses hommes de main. Latif n'est pas bien, il est foncièrement méchant et tricheur, toute sa haine du PDS découle de son adversité avec Ousmane NGOM, qui était son camarade de classe à la faculté des droits.

46.Posté par Bass DIOP le 13/11/2012 17:05
Bounkhatab, vous pouvez être de bonne foi en croyant aux qualités d'un homme, mais laissez le droit aux autres qui le connaissent peut être mieux que vous, le soin de le juger sur la base d'éléments hors de votre portée. Latif est un aîné du Saloum, qui m'a devancé de trois années à l'école. Mais le monsieur n'a pas les qualités qu'on lui prête du fait de son opposition au système du président Abdoulaye WADE. Latif a profité de tous les systèmes, en s'appuyant sur des gens, qu'il l'a vite fait de lâcher, en les compromettant : Babacar TOURE de Sud FM, en bon grand frère, lui faisait des confidences, qu'il tirait directement de ses relations personnelles et amicales avec la famille WADE, Latif en a utilisées certaines, pour étayer un argumentaire sur Madame WADE. Saviez vous qu'au début de l'alternance, Latif gagnait des marchés avec la poste sous le couvert d'une société au nom de son épouse. Latif est un homme capable de brouter sur les herbes les plus nauséabondes, pourvu seulement qu'il y trouve son pain. Saviez vous que Latif a monté de toute pièce "Y 'en a marre", à travers un de ses hommes de main. Latif n'est pas bien, il est foncièrement méchant et tricheur, toute sa haine du PDS découle de son adversité avec Ousmane NGOM, qui était son camarade de classe à la faculté des droits.

47.Posté par Bass DIOP le 13/11/2012 17:09
Samba Alassane THIAM c'est un griot khana, il nous pompe l'air

48.Posté par Bass DIOP le 13/11/2012 17:10
Il est du meme clan que Macky SALL, ils ont porté leur premier costume après 30 ans. C'est dommage et ça se remarque facilement.

49.Posté par Bass DIOP le 13/11/2012 17:10
Il est du meme clan que Macky SALL, ils ont porté leur premier costume après 30 ans. C'est dommage et ça se remarque facilement.

50.Posté par MANE Moussa le 13/11/2012 18:19
Bien, je pensais qu'ils étaient courageux, ils n'ont confiance qu'à la police. Je leur supplie d'organiser une contre manifestation lorsque le PDS voudra légalement manifester. A bon entendant salut!

51.Posté par baye le 13/11/2012 18:45
Vous les pro-wade,vous êtes entreints d poluer l net en ne disant k des insanités.Vous êtes vulgaires et malhonnêtes comme votre mentor wade.

Vous demandez à macky de respecter les promesses électorales.......mais l'audit des finances du pays en est une.
Pourquoi vous ne voulez plus qu'il respecte ses promesses.
Macky on te permettra jamais de wakh wakhetttt.

52.Posté par papis moi aussi le 13/11/2012 18:57
Attention Macky, Abdou Latif travaille pour Niasse, je demande à Macky de rouvrir le dossier "VITTOL" et de faire très très très attention

53.Posté par CRAFSENEGAL le 13/11/2012 19:16
A VRAI DIRE, ABDOULAYE WADE EST LA SOURCE DE TOUS LES MAUX DU SENEGAL.

RAPPELS DU PASSIF NOIR DE WADE :
- 1988 ANNEE BLANCHE AVEC LE CONCOURS DE GORGUI WADE;
-1993 LE CRIME ELECTOREL : AFFAIRE SEYE;
-2001 LA CONSTITUTION PROGRAMMEE PAR FANTOMAS
- 2002 LE BATEAU : LE DIOLA ;
- A LA SUITE DU BATEAU GORGUI ENCHAINE LES BETISES : SCANDALES ECONOMIQUES; VIOLENCES POLITIQUES; LE BARCA BARSAKH; L'INFLATION ACCELEREE; LA MANIPULATION CONSTITUTIONNELLE....
AUDEMEURANT WADE L'ENDETTE DE 2000 REVIENT AUJOURD'HUI POUR DIRE QUE J'AI ENRICHI BEAUCOUP DE SENEGALAIS AVEC L'ARGENT DU CONTRIBUABLE ET LE PONION QUI RESTE UNE DETTE A SOLDER PAR NOS ENFANTS.
ALERTE ! GORGUI VEUT ENCORE ALLUMER LE FEU AU SENEGAL AVANT D'ABANDONNER L'AFRIQUE. IL URGENT D'ARRETER SATAN ET FILS !

54.Posté par fatim le 13/11/2012 19:18
J'ai beau questionner ma petite tete, je n'arrive vraiment pas à comprendre cet homme. Journaliste brillant, homme public respectable, je ne comprends pas pourquoi il a privé les sénégalais sa belle plume. Peut être que c'est un homme ambitieux mais cela ne justifie pas ses attitudes de digne défenseur d'un régime qui ne convint outre mesure les sénégalais. Votre place est ailleurs que dans ce gouvernement.

55.Posté par kebson le 13/11/2012 19:50
latif du jour au lendemain devenu grio de macky sall journaliste d 'investigation tu devais avoir une neutralité mes aujoud huit voila ton vrai visage cette d un tricheur d un homme qui na aucune honeteté intélectuel un bouffon un profitare profité pendent qu' il soi tans dans 5ans vous allez étre jugé par cette méme cour que vous avais créé

56.Posté par Awaly Sall le 13/11/2012 19:58
comment peut il déjà ùetre si dodu ?
poyurtant il n'a pas encore suffisamment gouté de son fromage !
si son ministère devait servir à quelque chose,
ce serait de s'auto-éclipser !
ç'est comme les ministère de ville, Tapa ou des inondation ou écovillage
Sénégalais savent porte pour manger argent du peuple dé !

57.Posté par sabre le 13/11/2012 20:58
c dommage qu'une si belle intellkigence soit éclipsé pour des raison politicienne. ya des gens de la trempe de latif qui doivent uniquement se positionner en sentitinelle et non lécher le cul d'un président. il n'est pas a sa place et c dommage. comme quoi le pouvoir rend aveugle avant de rendre fou

58.Posté par ama le 13/11/2012 21:09
Sur le divan
Madiambal Diagne
Freud, aggrave son cas
Un patron de presse bien particulier
« Je suis le seul patron de presse qui dit d’où il tient sa fortune ». Dixit Madiambal Diagne dans le magazine Icône N°62 de
(Freud nègre) Janvier 2011. Fortune, a-t-il dit ? Le commun des Sénégalais sait que le secteur de la presse est tellement sinistré que ceux qui s’y démènent ne voient même pas la queue du diable pour le tirer. Et quand M. Madiambal parle de fortune, c’est qu’il y a quel part quelque chose qui ne tourne pas rond.
Mais d’abord, qui est Madiambal ?
Laissons l’intéressé se présenter lui – même ! « C’est tout simple. Je m’appelle Madiambal Diagne et je n’ai pas fait de formation en journalisme. J’ai commencé ma vie active comme greffier. J’étais diplômé du Centre de Formation et de Perfectionnement Administratif (CFPA). Option gestion judiciaire. J’ai dû arrêter mes études pour intégrer la fonction publique comme greffier. Il s’est trouvé, par la suite, que la situation de fonctionnaire de la justice comme greffier ne me convenait pas, parce que je ne gagnais pas suffisamment ma vie.
C’est ainsi que j’ai commencé à travailler comme pigiste à Walfadjiri. Je l’ai fait pendant neuf ans. Je signais sous le pseudonyme de Moussa Sarr que tout le monde connaissait. Et, j’ai fini par prendre goût à la chose » (cf Icône magazine N°62 du mois de Janvier 2011).
Freud : (Séance I)
« Donc le patient Madiambal est entré par effraction dans le métier du journalisme. N’ayant pas fait de formation autre que sur le tas, il ne saurait appréhender les dérapages qui peuvent affecter le métier. Il foulera toujours au pied les principes sacrés de l’éthique et de la déontologie qui régissent le journalisme.
Ce sera difficile de l’apprivoiser et de l’amener à se rectifier. La solution, c’est de l’extirper de ce métier très noble ».
Madiambal et le fric
« Moi je n’ai pas de complexe de dire que des Américains sont derrière moi et m’appuient. En 2006, j’ai bénéficié d’un appui très conséquent d’une ONG Américaine qui s’appelle Média Développement Loan Fund. Ils m’ont identifié comme quelqu’un qui a du courage et qui prend des initiatives dans un environnement économique difficile pour la presse. En ce qui concerne l’affaire de corruption qui m’opposait au ministre Thierno Lô, je crois que ce dernier a certainement eu un comportement indélicat. J’ai voulu qu’on m’éclaire dans cette situation – là. Je me suis ouvert au chef de L’Etat sénégalais (Pdt Wade NDLR), en lui disant : « si jamais vous avez donné de l’argent à Thierno Lô pour moi, considérez que je ne le lui ai pas demandé et qu’il ne m’a rien donné. Wade nous a convoqués avec des témoins estimant qu’il a bien remis de l’argent à Thierno Lô pour moi. Si j’avais reçu de l’argent, admettez que je n’allais pas l’étaler sur la place publique. C’est moi qui ai choisi la commission de lutte contre la corruption pour enquêter sur cette affaire. Si j’avais quelque chose à me reprocher, je pense que je ne l’aurais pas fait ». (cf Icône magazine N°62 de Janvier 2011).
Freud : (Séance II)
« Madiambal donc est connu comme un journaliste « ripoux » ( pourri), qui ne recule jamais devant la corruption, sinon comment le Pdt Wade, bien renseigné par les services de renseignements et par ses réseaux personnels, aurait eu l’outrecuidance de lui envoyer de l’argent, par l’entremise du Ministre Thierno Lô, pour le « convaincre » de refréner son ardeur et de « collaborer ». Il n’y a pas de fumée sans feu. Et au Sénégal on sait qui est qui et qui fait quoi.
Madiambal n’a qu’à s’expliquer sur son voyage récent à Monaco. Qui l’avait invité, qui a payé son billet et son séjour ? Tiens Monaco ! Le fief de qui vous savez : Mimran et Diagna Ndiaye alias « De Gaulle ». Qui plus est, Madiambal, le patron de presse le plus étriqué de sa génération, était bien en place lors de la soirée de gala des Mimran le samedi 11 novembre dernier où il fallait débloquer 3 millions de franc Cfa pour y assister. Il faudra qu’il explique à quel titre il y était.
Un Témoin, anonyme, l’avait surpris il y a quelques années au bar Djileppzi du Méridien de l’époque, en train de « magouiller » avec un certain conseiller du président Wade, un jour d’un match de l’équipe nationale de France. Ce conseiller (H. B.), rappelons le, avait trompé Wade et avait demandé publiquement pardon. En effet, il avait fait croire au père de Karim (dont il était ami et proche) qu’Idrissa Seck serait en forte régression à Thiès (Elections Locales 2009).
Constat : Le patient est au stade terminal, il est rongé dangereusement par le virus du « bakchich». Tant que ses narines poreuses flaireront l’odeur du fric, il n’abdiquera pas. Devant le dieu Argent il perd son âme, son sang froid et sa dignité. Diagnostic final : irrécupérable ! ».

Wahab Sylla,
Le Cyclope

Post-scriptum : Dans le Quotidien du lundi 12 novembre, Madiambal Diagne a déclaré dans sa chronique du Lundi, ceci : « En psychanalyse, la catharsis est un phénomène de libération à caractère émotionnel résultant de l’extériorisation d’affects refoulés dans le subconscient . Le Sénégal en a bien besoin dans sa perspective de refondation d’un système de « gouvernance vertueuse ». Moralité : lui aussi en a besoin plus que les autres. Et nous l’avons pris au mot en l’installant sur le divan.
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59.Posté par ama le 13/11/2012 21:11
Sur le divan Madiambal Diagne Freud, aggrave son cas Un patron de presse bien particulier « Je suis le seul patron de presse qui dit d’où il tient sa fortune ». Dixit Madiambal Diagne dans le magazine Icône N°62 de (Freud nègre) Janvier 2011. Fortune, a-t-il dit ? Le commun des Sénégalais sait que le secteur de la presse est tellement sinistré que ceux qui s’y démènent ne voient même pas la queue du diable pour le tirer. Et quand M. Madiambal parle de fortune, c’est qu’il y a quel part quelque chose qui ne tourne pas rond. Mais d’abord, qui est Madiambal ? Laissons l’intéressé se présenter lui – même ! « C’est tout simple. Je m’appelle Madiambal Diagne et je n’ai pas fait de formation en journalisme. J’ai commencé ma vie active comme greffier. J’étais diplômé du Centre de Formation et de Perfectionnement Administratif (CFPA). Option gestion judiciaire. J’ai dû arrêter mes études pour intégrer la fonction publique comme greffier. Il s’est trouvé, par la suite, que la situation de fonctionnaire de la justice comme greffier ne me convenait pas, parce que je ne gagnais pas suffisamment ma vie. C’est ainsi que j’ai commencé à travailler comme pigiste à Walfadjiri. Je l’ai fait pendant neuf ans. Je signais sous le pseudonyme de Moussa Sarr que tout le monde connaissait. Et, j’ai fini par prendre goût à la chose » (cf Icône magazine N°62 du mois de Janvier 2011). Freud : (Séance I) « Donc le patient Madiambal est entré par effraction dans le métier du journalisme. N’ayant pas fait de formation autre que sur le tas, il ne saurait appréhender les dérapages qui peuvent affecter le métier. Il foulera toujours au pied les principes sacrés de l’éthique et de la déontologie qui régissent le journalisme. Ce sera difficile de l’apprivoiser et de l’amener à se rectifier. La solution, c’est de l’extirper de ce métier très noble ». Madiambal et le fric « Moi je n’ai pas de complexe de dire que des Américains sont derrière moi et m’appuient. En 2006, j’ai bénéficié d’un appui très conséquent d’une ONG Américaine qui s’appelle Média Développement Loan Fund. Ils m’ont identifié comme quelqu’un qui a du courage et qui prend des initiatives dans un environnement économique difficile pour la presse. En ce qui concerne l’affaire de corruption qui m’opposait au ministre Thierno Lô, je crois que ce dernier a certainement eu un comportement indélicat. J’ai voulu qu’on m’éclaire dans cette situation – là. Je me suis ouvert au chef de L’Etat sénégalais (Pdt Wade NDLR), en lui disant : « si jamais vous avez donné de l’argent à Thierno Lô pour moi, considérez que je ne le lui ai pas demandé et qu’il ne m’a rien donné. Wade nous a convoqués avec des témoins estimant qu’il a bien remis de l’argent à Thierno Lô pour moi. Si j’avais reçu de l’argent, admettez que je n’allais pas l’étaler sur la place publique. C’est moi qui ai choisi la commission de lutte contre la corruption pour enquêter sur cette affaire. Si j’avais quelque chose à me reprocher, je pense que je ne l’aurais pas fait ». (cf Icône magazine N°62 de Janvier 2011). Freud : (Séance II) « Madiambal donc est connu comme un journaliste « ripoux » ( pourri), qui ne recule jamais devant la corruption, sinon comment le Pdt Wade, bien renseigné par les services de renseignements et par ses réseaux personnels, aurait eu l’outrecuidance de lui envoyer de l’argent, par l’entremise du Ministre Thierno Lô, pour le « convaincre » de refréner son ardeur et de « collaborer ». Il n’y a pas de fumée sans feu. Et au Sénégal on sait qui est qui et qui fait quoi. Madiambal n’a qu’à s’expliquer sur son voyage récent à Monaco. Qui l’avait invité, qui a payé son billet et son séjour ? Tiens Monaco ! Le fief de qui vous savez : Mimran et Diagna Ndiaye alias « De Gaulle ». Qui plus est, Madiambal, le patron de presse le plus étriqué de sa génération, était bien en place lors de la soirée de gala des Mimran le samedi 11 novembre dernier où il fallait débloquer 3 millions de franc Cfa pour y assister. Il faudra qu’il explique à quel titre il y était. Un Témoin, anonyme, l’avait surpris il y a quelques années au bar Djileppzi du Méridien de l’époque, en train de « magouiller » avec un certain conseiller du président Wade, un jour d’un match de l’équipe nationale de France. Ce conseiller (H. B.), rappelons le, avait trompé Wade et avait demandé publiquement pardon. En effet, il avait fait croire au père de Karim (dont il était ami et proche) qu’Idrissa Seck serait en forte régression à Thiès (Elections Locales 2009). Constat : Le patient est au stade terminal, il est rongé dangereusement par le virus du « bakchich». Tant que ses narines poreuses flaireront l’odeur du fric, il n’abdiquera pas. Devant le dieu Argent il perd son âme, son sang froid et sa dignité. Diagnostic final : irrécupérable ! ». Wahab Sylla, Le Cyclope Post-scriptum : Dans le Quotidien du lundi 12 novembre, Madiambal Diagne a déclaré dans sa chronique du Lundi, ceci : « En psychanalyse, la catharsis est un phénomène de libération à caractère émotionnel résultant de l’extériorisation d’affects refoulés dans le subconscient . Le Sénégal en a bien besoin dans sa perspective de refondation d’un système de « gouvernance vertueuse ». Moralité : lui aussi en a besoin plus que les autres. Et nous l’avons pris au mot en l’installant sur le divan. ________________

60.Posté par Denise d'Erneville le 13/11/2012 21:51




IL EST TEMPS DE METTRE FIN A LA CONFUSION POUR DEPASSIONNER LE DEBAT ET SAUVER NOTRE DEMOCRATIE !!!.


par Denise d'Erneville, mardi 13 novembre 2012, 17:37 ·



















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POUVOIR et OPPOSITION nous servent la POLITIQUE le matin au petit-déjeuner, à midi comme plat de résistance et le soir en dessert : les Sénégalais en ont vraiment leur dose. Ce n'est pas le rôle du gouvernement d'apporter la réplique à un parti politique, ni de polémiquer sur des communiqués émanant d'une quelconque formation politique, ni d'entretenir à dessein, la confusion à ce stade d'enquêtes devant déboucher sur des inculpations ou non, de citoyens qui bénéficient encore d'une présomption d'innocence. Au nom de la séparation des pouvoirs, il appartenait à M. le Procureur de la crei d'apporter l'éclairage approprié. L'attitude bien singulière du gouvernement n'honore pas ses dirigeants et n'est pas digne de notre pays : de grâce ne tuez pas notre Démocratie et arrêtez de vous faire peur les uns les autres ! Suffirait-il que les responsables du Pds annoncent le retour du leader charismatique du Sopi pour que la panique semble s'emparer des tenants du pouvoir ? Ou que les responsables de l'ancien régime "s'énervent" quand on les jette en pâture dans la presse ? Il faut dédramatiser la situation en ramenant les choses à leurs justes proportions, surtout qu' aucun acte répréhensible n'a été commis : les libéraux qui flétrissent une justice "sélective" de leur point de vue et la démarche bien "suspecte" du Procureur de la crei n'ont-ils pas le droit de le dénoncer et de manifester leur désapprobation ? Ce n'est pas non plus le rôle d'un ministre de jeter de l'huile sur le feu en traitant de "brigands" quelqu'un dont la culpabilité n'est pas établie, il faut mettre fin à cette escalade de violences verbales indignes d'une autorité susceptible d'incarner nos valeurs. Il est superflu de rappeler que force doit rester à la loi, parce que ne pas l'accepter, signifie ramer à contre courants. En effet ne sont punis que les fauteurs de troubles et les hors la loi. Les Sénégalais qui réclament une justice juste et équitable, veulent la même justice pour tous les citoyens qui se seraient rendus coupables, de Senghor à Wade, en passant par Diouf.

Dans la Constitution du Sénégal, une république laîc et démocratique, on peut lire que l'opposition doit s'opposer et que le gouvernement qui gouverne satisfasse les besoins des populations et garantisse les droits inaliénables de tous les citoyens, sans discrimination. Il est temps de nous retrouver autour de l'essentiel, que chacun joue sa partition et de mettre fin à tous ces bavardages. Des bavardages qui risquent de plomber notre développement. Mais surtout méfions-nous de voir s'installer une certaine forme de dictature qui risque de nous précipiter dans le chaos. Nous devons oeuvrer pour la paix, la stabilité et le maintien des acquis. Il nous faut apaiser les esprits et les coeurs.

Fait à Dakar, le 13 novembre 2012

Denise d'Erneville

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