La nouvelle réplique de Wade sur son patrimoine


La nouvelle réplique de Wade sur son patrimoine

DAKARACTU.COM À travers une interview accordée à Bbc Afrique, Abdoulaye Wade défend énergiquement son patrimoine. À la question: "A combien évaluez-vous votre patrimoine personnel ?", il a répondu: «Vous n'avez qu'à prendre ma déclaration de 2001, ajoutez tout ce que vous voulez et vous faites l'évaluation.» À propos du légendaire terrain des Almadies qui fait polémique, il a précisé: «Le terrain(des Almadies) dont je vous parle, je l'ai acheté en 1973. Je revenais d’Abidjan, j'étais consultant international et j'ai demandé à une dame qui était dans l'immobilier "est-ce que vous avez quelque chose à me proposer ?" Elle me dit:"mais Wade, j'ai quelque chose d’extraordinaire." Elle m'a montré çà sur le plan. Le prix à l'époque était de 13 millions en 1973. Ce terrain que j'ai acheté à l'époque, il vaut des milliards maintenant. Ce n'est pas de ma faute, parce que le monde change, il ya ce qu'on appelle la rente foncière, c'est pas moi qui l'ai inventé.» Par ailleurs, Me Wade a soutenu ne pas avoir de biens à l'étranger, mis à part en France. «Le seul bien que j'ai à l'extérieur, c'est en France, au 50 avenue Des Ternes, que j'ai acheté dans les années 80, de 41 mètres carrés. Cet appart sert de siège au Pds, tout le monde le connaît.»

Lundi 18 Juin 2012




1.Posté par peter le 18/06/2012 10:28
yaw goor nga c'est macky le voleur!!!

2.Posté par sunugalien le 18/06/2012 10:37
Après que le régime de Wade aie porté le peuple à l’agonie, je dirai même plus dans un état comateux, celui de Maky Sall va-t-il organiser ses funérailles ? Fervent partisan du Wade dégage, le doute s’installe à présent dans mon esprit puisque je ne vois aucunement la défense des intérêts du peuple dans les actes posés par le nouveau gouvernement.

L’affaire Cheikh Béthio, les audits, un feuilleton Wade-Maky : le somnifère pour endormir les sénégalais

Alors que la population attend encore le déroulement d’une politique visant à solutionner leurs véritables préoccupations, le nouveau régime nous sert l’affaire Cheikh Béthio, les audits et pour couronner le tout un probable et interminable feuilleton Wade-Maky . Le boom médiatique aidant, les nombreuses difficultés vécus par les sénégalais deviennent du coup reléguer au second plan. A l’approche de l’hivernage, les problèmes des paysans et les inondations semblent constituer indéniablement les priorités ?

Je suis par ailleurs outré par la non convocation d’une ministre trempée dans une rocambolesque histoire de marché avec des clé USB à 95 000, cuillère à presque 50 000 et quoi encore... En fait d’audits, les personnes convoquées fait plutôt penser à des règlements de compte. On se rappelle bien qu’en 2000 Wade, dès son accession au pouvoir, avait annoncé des audits assimilables à des actes de vengeances. Décidément le peuple sénégalais toujours dupe risque d’être roulé dans la farine encore une fois par ces politiciens.

Wade-Maky un nouvel épisode du feuilleton des libéraux ?

Après Wade-Idy, Wade-Pape Diop, Wade et autres … les sénégalais sont en passe de vivre un nouvel épisode du feuilleton interminable des libéraux. Tel un habile hypnotiseur Macky est-il entrain de berner le peuple qui l’a porté au pouvoir et qui a tant souffert de 12 ans de wadisme.
En effet, mon avis est que Maky a poussé ces affaires d’audit à leur paroxysme, connaissant Wade et son orgueil démesuré, il réussirait à le faire sortir de ses gongs. Ainsi devrait naitre un épisode dont on ignore la durée pour divertir davantage le peuple. Par conséquent la vie des sénégalais continuera de se conjuguer au passé avec ces gens qui continuent à s’éterniser sur les digressions de Wade, cet homme ‘un autre âge ?
Alors qu’on nous tympanise avec ces histoires d’audits et de politique d’austérité, le gouvernement se permet une délocalisation d’un conseil de ministres dont le coût doit être révélé aux sénégalais. Conseil de ministres délocalisé … et quoi encore…franchement nous exigeons des mesures concrètes et utiles plutôt que des inventions « à la Wade » ou « à la con » de la part du président de la république.



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